1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1041)


    Datte: 19/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... qui involontairement m’excitait… Il passait et repassait autour de moi quand, placé derrière moi, un sifflement se fit entendre et avant que je n’identifie l’origine du bruit, une brûlure intense apparut aux creux de mes reins me faisant me cabrer. - J’ai dit ajouta-t-il, ne me fais pas répéter, je te l’ai dit déjà ! Prestement, je retirai la robe fourreau la laissant tomber à terre. De son pied, il la repoussa plus loin - Mains derrière la nuque, bouche entrouverte, tête droite, reins creusés, ventre rentré, seins offerts, jambes écartées Le Noble vient se mettre devant moi, sa main me prenant le menton et les joues et me tenant fermement, droit dans les yeux, il me lança : - Tu es fière je vois, tu as de la prestance, mais je te dresserai à Me servir, entends-tu ? Je sais que tu faites pour être esclave, que c’est ta destinée, c’est ainsi et quoi que tu fasses, tu ne pourras jamais te détourner de cette évidente réalité… Ses yeux étaient devenus durs, le ton froid, glacial et je résistais encore, le toisant n’abandonnant pas aussi facilement la partie. S’il voulait me soumettre, il lui faudra y mettre le prix, me disais-je. - J’aime ce que tu te dis en ce moment par ton regard, tes yeux parlent pour toi. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire disait notre ami Monsieur de Corneille. Puis, avec un sourire radouci à nouveau, me caressant le visage avec douceur : - Eh oui ma belle chienne en devenir, je lis en toi comme dans un livre ouvert. Tu es fière, c’est parfait, ...
    ... tu résistes, c’est encore mieux et tu me prouves que tu es effectivement bien née. - Ouvre la bouche Il approcha alors ses lèvres et déposa sur les miennes un baiser voluptueux, sa langue cherchant la mienne, et me voilà me laissant fouiller activement, sans retenue. Les ordres fusaient et étaient immédiatement exécutés par moi. Je ne sais quelle force me poussait à obéir si promptement mais je m’exécutais autant par l’excitation qui montait en moi que par je ne sais quoi qui m’encourageait à l’obéissance. Il posa la cravache que je ne quittais plus des yeux, s’approcha de moi, me caressa les seins que j’avais menus, mais bien galbés, effleurant mes tétons, les pressant légèrement ce qui, immédiatement me fit ressentir encore plus à mon bas du ventre cette fameuse « boule » si connue des jouisseuses. Il passa le bout de sa langue sur chacune de mes aréoles, puis prit en bouche le téton gauche, l’aspira, le mordilla tendrement puis plus fortement, tandis que sa main gauche caressait mes reins et mes fesses et que la droite, descendait le long de mon ventre, plus bas encore, encore plus bas arrivant au nez clitoridien déjà turgescent. Mes aisselles, mon pubis, mon sexe, entièrement épilé, tout était lisse comme la glace. De toute façon, blanche de peau et blonde de surcroît, ma pilosité n’a jamais été drue, tout au plus quelques petits poils de blonde. - J’aime la qualité de ta peau, j’aime ton odeur de salope. - Oh ! Que c’est bon m’entendis-je dire doucement, Monsieur, s’il ...
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