Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... l’humour de sa sœur. La réponse fait plier de rire Fanny dont les yeux brillent plus que jamais. Je ne ressens plus qu’une légère douleur quand nous revenons sur la terrasse. Toujours aussi agréable Hélène marmonne : — Vous en avez mis du temps, le jardin n’est pas si grand.— Catherine a fait connaissance avec les guêpes de la maison, précise Sylvie, elle s’est fait piquer.— Ah… répond dame glaçon. J’ai même l’impression qu’elle va dire « brave bête, elles sont bien dressées » tellement ses yeux parlent pour elle. — À la poitrine, ça avait l’air hyper douloureux, dit gentiment Fanny.— Pfff… Pas étonnant, on voit que ça. La réflexion dite sur un ton acide d’Hélène jette quand même un froid, ce qui pourrait être un bien vu la chaleur environnante, mais ce n’est pas le cas. Histoire de crucifier sa belle-sœur un peu plus, Sylvie réplique : — Heureusement Paul a un remède miracle, il a…— Tu sais l’oignon sur les piqûres, y a que ça de vrai, coupe Paul. Il évite ainsi de donner les détails les plus croustillants à sa femme, ce que Sylvie se serait fait un plaisir d’expliquer. Fanny essayant de détendre un peu l’atmosphère dit : — Tu aurais dû venir mon chéri, ce que nous avons pu voir était magnifique et t’aurait intéressé.— Je n’en doute pas, répond-il en me jetant un œil.— Oui c’était passionnant jusqu’à ses maudites guêpes, dis-je. Je trouve là encore, un bon prétexte pour écarter mon corsage et examiner ma piqûre tout en m’assurant que Thierry peut largement en profiter. Ma ...
... peau luit encore là où l’oignon a été appliqué, juste à côté de mon mamelon qui n’a pas débandé depuis. Comme Thierry reste les yeux plantés sur ma poitrine, je lui glisse avec un large sourire : — C’est encore bien rouge mais je ne sens presque plus la douleur.— Oui, c’est une zone sensible dit Thierry un peu penaud de s’être fait prendre en flagrant délit.— Oui très, c’est vrai, dis-je. Je me demande pourquoi elles m’ont sauté dessus comme ça.— On se balade pas à poil comme une p… enfin comme ça je veux dire, dans un jardin, y a toujours plein d’insectes qui traînent, répond Hélène avec un ton toujours aussi désagréable. Se rendant compte qu’elle à été un peu fort même si le mot le plus cru est resté dans sa bouche, elle ajoute : — Ça peut être dangereux, faut vivre un peu en campagne pour le savoir, il est vrai. Elle se fend d’un sourire forcé, je lui réponds par un, le plus niais possible, aimant jouer les gourdes avec elle. La soirée est déjà bien avancée, nous discutons encore un moment puis l’heure du départ est venue. Quand je me lève, je pense à examiner le cousin jaune sur lequel j’étais assise, une petite auréole sombre marque la place de mon fessier. Mon sexe dégoulinant a laissé un souvenir. Fanny m’enlace alors pour me dire au revoir, ses mains s’égarant sur mes hanches. Thierry montre la même chaleur dans la voix et le geste et nous nous donnons rendez-vous au lendemain à la plage. Hélène me lâche un bonsoir glacial, Paul montre beaucoup plus de sollicitude et ...