1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... mais… mais, mais je l’ai mérité, oncle chéri, lui dis-je en me frottant les fesses. Tu verras, je… je tiendrai ma promesse ; tu… tu n’auras plus rien à me reprocher. Je renifle, l’embrasse, répétant inlassablement les mêmes phrases. Maintenant il me rassure, me caresse les cheveux, puis essuie mes larmes en m’embrassant, comme le ferait une mère. Nous restons longtemps l’un contre l’autre à nous consoler mutuellement, car lui semble souffrir terriblement de m’avoir fait du mal. Je reprends mes esprits, tout en continuant de frotter mes fesses endolories. J’ai pleinement conscience que chacun de mes mouvements provoque un appui de mes fesses sur son bas-ventre, mais je reste collée contre lui, désireuse d’augmenter son trouble. D’ailleurs, depuis l’instant où je me suis allongée sur ses genoux pour y recevoir la fessée, j’ai perçu son érection contre ma jambe mais n’ai fait aucun mouvement pour m’y soustraire, comme si je ne m’étais aperçue de rien. Cela aussi faisait partie de mon plan… Quand enfin je me lève au bout d’un long moment, je jette un œil à la robe de chambre de mon oncle : comme je m’en doutais, des sécrétions vaginales recouvrent une bonne partie de la surface où je me suis assise. La chose ne peut lui avoir échappée, mais il ne fera aucune remarque à ce sujet. Je devrais être gênée d’avoir laissé sur lui les manifestations de mon émoi mais, bien au contraire, je souhaite vivement qu’il s’en aperçoive, que l’ambiguïté de nos rapports le déstabilise. Nous sommes ...
    ... debout et nous nous regardons en silence, un peu gênés. Je le remercie à plusieurs reprises pour sa fessée, sa gentillesse, sa compréhension ; il semble ému, ne dit toujours rien. Je me colle encore contre lui. Plusieurs minutes se sont passées depuis la fin de la fessée, mais nos cœurs battent fort. Je l’embrasse à nouveau plusieurs fois avant d’aller me coucher. Je n’ai plus besoin de consolation, mon oncle si : il n’a pas prononcé un seul mot depuis la discussion qui a précédé la fessée. La victime, c’est lui ! Je viens de gagner une partie décisive car malgré lui, mon oncle est devenu mon complice ; il n’aurait jamais dû accepter de me fesser, mais moi, j’ai su l’amener là où je voulais qu’il arrive. J’ai payé cher pour cela ; mes fesses s’en souviendront longtemps. Mais j’ai pris l’ascendant sur lui. Dans mon lit, tout en caressant mes fesses endolories, je revois le film de cette fin de soirée. J’essaie d’imaginer le regard de mon oncle sur mes fesses et sur mon intimité. L’effet est immédiat : mon bas-ventre s’émeut aussitôt. Mes mains quittent mes fesses pour mes petites lèvres et mes seins ; quelques caresses suffisent à me provoquer un orgasme dont je mets plusieurs minutes à me remettre. C’est donc bien la fessée qui m’a mise dans cet état, car dès que j’y pense à nouveau mes sens s’affolent aussitôt. Pour mieux analyser l’effet qu’elle a eu sur moi, je me remémore dans le détail le déroulement de mon châtiment. Déjà, j’ai ressenti une énorme excitation quand j’ai ...
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