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Le prix de la liberté
Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,
... demandé à mon oncle de me fesser ; mes paroles avaient du mal à sortir de ma bouche, puis ont résonné dans ma tête pendant quelques secondes. Mes entrailles se sont mises en marche instantanément ; je peux même dire que l’effet avait déjà commencé quand j’ai résolu de lui demander de me fesser : l’idée de me retrouver exposée fesses nues au regard de mon oncle m’avait intimement troublée. Puis, quand je me suis positionnée sur ses genoux en cambrant mes reins, je l’ai vécu comme une offrande de mon cul à mon oncle ; le mot « cul », dans son sens cru – que je n’utilise jamais dans le langage parlé – est le mot que j’ai utilisé dans ma tête à cet instant. J’ai ressenti une puissante excitation dans mon bas-ventre, excitation entretenue par l’attente qui n’en finissait pas. C’est lors des toutes premières claques que j’ai senti avec certitude la cyprine envahir mon minou, mais cela avait certainement commencé auparavant. Par la suite, la douleur a tempéré l’ivresse de mes sens. Quand je me suis assise à califourchon sur mon oncle, je l’ai fait comme si je m’empalais sur lui. Les sanglots qui me secouaient le corps ont masqué les réactions de mon bas-ventre, mais les nombreuses traces laissées par mon sexe sur la robe de chambre de mon oncle ont témoigné de mes émois… Le coton de la robe de chambre a absorbé une partie de ma cyprine, mais ce qui restait témoignait d’une très vive excitation. J’essaie maintenant d’imaginer mon oncle avec sa robe de chambre. Qu’en a-t-il fait ? ...
... L’a-t-il portée à son visage ?A-t-il reniflé mes sécrétions ? Les a-t-il léchées ? Peut-être est-il en train de se caresser avec son peignoir ? De détailler ainsi cette montée du plaisir ravive mon excitation, et à nouveau mes doigts de magicienne font merveille : une nouvelle jouissance couronne rapidement leurs efforts. Puis je repense à mes manœuvres pour mettre mon oncle dans ma poche. Mon intuition me dit qu’il ne pourra plus me contrôler : je vais pouvoir prendre les commandes du navire, il me faut l’assujettir… complètement. Je suis bien décidée à profiter de mon avantage dès le lendemain matin, au petit déjeuner : faire une arrivée en toute petite tenue pour raviver la flamme de la veille. La nuit a été courte, amputée de quelques heures par ma soirée, ma terrible fessée, mes réflexions et le ballet sensuel auquel mes mains se sont livrées, mais ma détermination reste intacte. Conformément au plan que j’ai établi la veille, je descends prendre mon petit déjeuner nue sous une nuisette transparente. Je justifie ma tenue en disant que je ne peux rien porter d’autre car j’ai terriblement mal aux fesses. Mon oncle va dans la salle de bain et revient aussitôt avec un tube de baume apaisant et le pose sur la table sans faire de commentaires. Je m’imagine un instant lui demandant de me passer la crème sur les fesses mais renonce, me disant qu’il ne serait pas dupe de mon intention de le troubler. Par le jeu des miroirs du vaisselier, je l’observe discrètement pendant mon repas. ...