Le prix de la liberté
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
jeunes,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
jeu,
fouetfesse,
confession,
prememois,
oncle,
... presque un soulagement, un soulagement douloureux, mais un soulagement quand même. Les claques s’enchaînent et la douleur augmente progressivement, mes cris également. J’avais oublié l’effet que cela faisait d’être fessée car je ne l’avais pas été depuis très longtemps – en réalité quasiment jamais – et cette nuit-là, mon corps réagit comme un corps de femme. La douleur est très vive, mais supportable ; ce n’est qu’avec la répétition que la chose va se corser. Pour l’instant, je suis prête à tout endurer : c’est le prix à payer pour ma liberté ! — Si tu m’aimes, fesse-moi plus fort. Oui, plus fort ! Je l’ai mérité, lui dis-je pour le stimuler, redoutant qu’il ne renonce en chemin. Il m’obéit : les claques s’enchaînent avec beaucoup de régularité. Très vite, mes fesses sont en feu, l’incendie contamine mon entrejambe, une sensation inattendue se diffuse dans mon bas-ventre. Ce mélange douleur/plaisir va crescendo. Je perds mes repères. La douleur devient cuisante, je pousse des cris de douleur, des larmes inondent mon visage. Mon oncle me fesse avec force et en mesure ; ses longues mains sont d’une efficacité redoutable. Je pleure maintenant à chaudes larmes, tente de remuer les jambes pour échapper aux claques, mais les grandes mains de mon oncle m’ont bien stabilisée sur ses genoux. Les coups ne faiblissent pas ; bien au contraire, leur rythme s’accélère encore et encore. Je pleure, je crie, je supplie, je gesticule, mais la fessée se poursuit et ne connaît pas de trêve. ...
... Mon bas-ventre est en fusion… Cette fessée est interminable ; rien à voir avec les trois petites claques de mes fessées de petite fille. Je prie maintenant que mon oncle s’arrête. Je regrette vivement de l’avoir encouragé à frapper plus fort. Aussi je crie et je supplie, pleurant à chaudes larmes comme une petite fille, gigotant dans tous les sens, sanglotant et reniflant : — Arrête, je t’en supplie, j’ai trop mal ! Mais il a pris son rôle très au sérieux et semble vouloir rendre la punition mémorable. Les claques continuent de pleuvoir encore longtemps, de plus en plus rapprochées. Je vais devenir folle, je crie ma douleur, le supplie à nouveau jusqu’à ce que, après une série de claques très rapides qui me coupent le souffle, il s’arrête enfin. Je suis épuisée par la douleur et l’émotion, mon corps tremble, secoué par les sanglots, des larmes inondent mon visage, mes fesses irradient. Mais ce n’est pas le moment de me laisser aller : je dois reprendre mes esprits et la situation en main. Je me lève doucement et me frictionne les fesses en pleurant, face à lui, laissant régulièrement échapper de petits sanglots. Il est toujours assis sur le canapé et me regarde avec un air abattu. Il est tout essoufflé ; je le sens presque aussi éprouvé que moi. Nous sommes comme deux boxeurs à la fin d’un combat. Je viens à califourchon me coller à lui, tremblant de la tête aux pieds et recommence à pleurer à chaudes larmes. Je sanglote toujours en lui parlant : — Tu… tu m’as fait très mal, ...