1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... Son émoi est manifeste ; il ne dira jamais que ma tenue est indécente : ce serait reconnaître qu’il peut en être troublé. Mais il ne quitte pas la cuisine, allant et venant, vidant le lave-vaisselle, faisant mille choses lui permettant de tourner autour de moi et de me contempler à la dérobée ; je suis devenue le centre de son univers. Dans la salle de bain, après la douche, en me massant les fesses j’imagine que c’est mon oncle qui me passe la crème sur les fesses en ne pouvant s’empêcher de déborder sur mes parties intimes… Cela provoque un grand trouble en moi, non pas parce que je désire sexuellement cet oncle, mais parce que constater l’emprise que j’ai maintenant sur lui – un homme d’âge mûr – m’excite au plus haut point. Dans les semaines qui suivent, il lui arrive de me surprendre nue dans la salle de bain ou dans la maison ; je prétends avoir oublié de fermer la porte, ou bien ignorer qu’il était dans la maison. À chaque fois, il me trouve dans une position que j’avais préméditée, impudique au possible. Je prends alors mon air le plus innocent, ris naïvement en lui disant « Tu m’as fait peur, je pensais être seule dans la maison. De toute façon, tu as tout vu, maintenant ; je n’ai plus rien à te cacher. » et je ne fais alors aucun geste pour préserver ma pudeur. Il ne commente jamais ces exhibitions, même quand ce comportement devient presque quotidien. C’est son trouble et son silence qui me conférèrent mon ascendant sur lui, mais aussi les barrières qu’il ...
    ... s’imposait de par son éducation ; barrières qu’il ne pourrait jamais franchir, alors que moi je me sens libre de le provoquer chaque jour un peu plus, dépassant les ultimes limites de la décence, ce qui m’excite considérablement. Quand il fait chaud, je dors nue et repousse les draps, espérant qu’il me découvre dans des positions très provocantes. Un matin, il a frappé à ma porte. Il faisait grand jour dans la chambre et j’étais sur le ventre, nue, cuisses écartées, fermant les yeux, sans bouger. Il est entré et est ressorti presque immédiatement en fermant la porte. Depuis, il n’est plus jamais entré sans que je l’y invite préalablement. Une nuit, je suis venue me coucher dans son lit, nue sous ma nuisette, prétextant que j’avais peur de l’orage ; il s’est tourné de l’autre côté pour trouver le sommeil. J’ai attendu quelques minutes, puis j’ai collé ma poitrine contre son dos et mon pubis contre ses fesses. J’ai renouvelé l’expérience à plusieurs reprises, sans plus jamais me justifier : il n’a jamais eu un geste déplacé. Pourtant, plus d’une fois au matin, il a dû me découvrir offerte, la nuisette retroussée jusqu’à la poitrine. J’étais souvent émoustillée par ma propre perversité ; il m’arrivait alors de me caresser longuement dans ma chambre ou dans la salle de bain, porte entrouverte, et de jouir sans chercher à limiter le volume sonore de mes gémissements et de mes orgasmes ; et cela, mon oncle ne pouvait pas ne pas l’entendre. Savoir qu’il pouvait écouter augmentait ...