1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... considérablement l’intensité de mes orgasmes. J’étais aussi de plus en plus câline avec lui, me blottissant contre lui comme le font les petites filles avec leur ours en peluche ou leur papa. Ces va-et-vient incessants entre innocence et sensualité, tendresse enfantine et exhibitions impudiques brouillaient ses capacités d’analyse. Il semblait incapable de porter un jugement objectif sur mon attitude ; du moins, jamais il ne m’a dit une phrase qui pouvait le laisser penser : c’était bien ce que je voulais ! En résumé, je devenais une vraie femme, habile et déterminée, capable de souffrir dans sa chair pour arriver à ses fins, et je le vivais comme un grand accomplissement… Un soir, peu après l’épisode de la fessée, j’ai une excellente surprise en rentrant à la maison. Je rentre de la fac ; mon oncle est seul dans le salon, occupé à ranger quelques babioles. Je l’embrasse tendrement, l’aide pour son rangement, puis, comme chaque jour, nous discutons quelques minutes de nos journées respectives. La mienne n’ayant rien eu de particulièrement intéressant, il me raconte d’un ton neutre qu’il vient d’appeler mes parents. Je me redresse ; mon visage se fige, ma gorge se noue. J’attends la suite. — Ne fais pas cette tête, Chloé : c’était pour plaider en ta faveur. Aussitôt mon sang reflue à nouveau, mon cœur se gonfle et je suis tout ouïe. — En résumé, j’ai dit à tes parents que les règles qu’ils avaient fixées avant ton arrivée ici n’étaient pas adaptées à une fille de ton ...
    ... âge. Vois-tu, j’ai largement eu l’occasion de t’observer : tu es une fille extraordinaire et tu as la maturité pour savoir ce que tu dois ou ne dois pas faire. Je te passe tous les détails de la conversation qui a durée plus de deux heures pour en arriver à la conclusion : il n’y a plus de règles ; tu deviens complètement responsable de ta personne. Je le regarde avec des yeux incrédules ; j’ai du mal à comprendre, j’ai vraiment besoin d’une reformulation. — Tu veux dire qu’il n’y a plus d’heure limite, de tenues indécentes, de restrictions sur l’alcool et les cigarettes ? En posant la question, des larmes de bonheur me montent aux yeux. — Je préfère le dire différemment : à partir de cet instant, c’est TOI qui fixes les limites, me dit-il avec un air solennel. Je lui saute dessus, m’écrase contre sa poitrine, l’embrasse sur les joues, sur le front, sur les yeux, dans le cou tout en pleurant de bonheur. Il fait semblant de se débattre et ajoute : — Vois-tu, je n’aime pas mentir ; cette situation me mettait vraiment mal à l’aise. Bien entendu, j’espère que tu feras tout pour démontrer que j’avais raison. Je n’en reviens pas : sans que je lui demande, il a intercédé en ma faveur. Connaissant mes parents, il a certainement dû batailler ferme pour réussir là où j’avais toujours échoué. C’est vraiment un mec bien ; je l’apprécie de plus en plus. — Oh, mon oncle chéri ! Merci, merci, merci mille fois ! Tu seras fier de ta nièce. Je suis toujours sur lui ; je ris, je pleure, je le ...