1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... ayant fait écran. Désormais, je ne vais porter que des vêtements qui soulignent ma féminité. Je vis mon heure de gloire et mes sens en sont tout émoustillés ; je sens ma poitrine gonfler quand je surprends les regards des garçons qui se posent sur moi avec convoitise. Depuis la rentrée, je navigue au sein d’un petit groupe qui se connaît déjà depuis le lycée. Les garçons m’ont intégrée rapidement et me proposent de venir le samedi même pour une soirée festive chez l’un d’entre eux. Je m’empresse d’accepter, certaine que mon oncle n’y verra aucun inconvénient (ce qui fut le cas, bien qu’il me remémorât l’heure limite de retour à la maison et la sobriété à laquelle je m’étais engagée). Le samedi arrive très vite. La soirée est une vraie réussite, nous sommes heureux de nous retrouver pour faire la fête. Je danse comme une folle, heureuse de me sentir libre et de découvrir le désir dans les yeux des garçons quand nous dansons au corps-à-corps. Je fais l’impasse sur l’alcool, mais le temps passe trop vite ; à vrai dire, je ne le vois pas du tout passer. En rentrant à la maison sur la pointe des pieds, lumière éteinte, alors que je vais entrer dans ma chambre, j’entends la voix de mon oncle qui me dit : — Chloé, je m’inquiétais : il est quatre heures. Peux-tu m’expliquer ce retard ? Et il m’apparaît en robe de chambre. Fort heureusement, j’ai eu tout le temps de préparer une justification : — Je suis vraiment désolée ; mes amis m’ont fait une mauvaise blague. Je leur avais dit ...
    ... que je devais impérativement être rentrée à deux heures, et ils se sont amusés à retarder les aiguilles de la pendule. Ma justification ne semble pas lui convenir car il me répond : — Je vais être obligé d’en référer à tes parents. Si tu commences comme cela, ils ne vont pas accepter. Heureusement, j’ai d’autres arguments : je me jette dans ses bras, pose ma tête sur sa poitrine, et de mon air le plus innocent lui dis que cela ne se reproduira plus. — Promis ? Je promets et pars me coucher, non sans l’avoir embrassé et serré étroitement contre ma poitrine avec toute la féminité dont je suis capable. Encore une fois j’ai gagné la partie, mais c’est une toute petite victoire et mon image ressort encore un peu écornée. L’incident est clos. L’oncle n’a pas eu la mauvaise idée d’en parler à Michel, ni à mes parents ; je m’en sors à très bon compte, mais l’avertissement a porté ses fruits : je rentre dans le rang. Les semaines suivantes, j’applique les directives parentales à la lettre : les limites horaire et éthylique sont scrupuleusement respectées mais, de ce fait, mes soirées deviennent ternes : je les quitte quand la fête bat son plein, à mon grand regret. Après mon départ de la soirée, l’attention des garçons se porte sur d’autres filles ; je ne suis plus la reine du bal, et cela me désespère, même si je ne suis plus là pour le constater. Lors d’une autre soirée, je renouvelle mon retard de deux heures : nouvelle justification alambiquée pour le retard, attitude innocente, ...
«12...567...14»