1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... promesses, câlins et bisous. Encore une fois, je roule l’oncle dans la farine ; ma technique fait ses preuves, mais après chaque incident je dois me limiter dans mes écarts : c’est une entrave à ma liberté que je ne peux supporter… Nos soirées atteignent leur rythme de croisière ; je n’ai pas trouvé l’âme-sœur, mais les prétendants ne manquent pas, je suis sur mon nuage. Une nouvelle fois, je rentre en retard ; il est six heures du matin. Je fais mon entrée chez mon oncle dans le plus grand silence, je monte l’escalier sur la pointe des pieds en m’efforçant de ne pas tituber, mais une marche craque, et presque instantanément les lumières du salon s’allument. Mon oncle est assis en bas, sur le canapé, en robe de chambre et me regarde avec colère. Je redescends l’escalier en me tenant à la rampe pour ne pas tituber. — Je suis vraiment navrée pour mon retard ; je vais t’expliquer.— Cette fois-ci, tu as vraiment dépassé les bornes ! Nous allons appeler tes parents demain. Tu ne peux rester ici plus longtemps si tu ne respectes pas les règles sur lesquelles nous nous étions mis d’accord.— Si, mon oncle, je les respecte, mais aujourd’hui j’ai eu un gros problème ; c’est pour cela que j’ai un peu bu et que je suis en retard.— Et ta culotte, fait-elle partie du gros problème ? L’oncle a remarqué l’indécence de ma tenue car, circonstance aggravante, ce soir-là j’ai un peu bu et lors d’un jeu un peu coquin dont j’étais la grande perdante, j’ai reçu un gage : offrir ma culotte au ...
    ... gagnant. — Oui, elle en fait partie, lui réponds-je en baissant timidement la tête ; mais avant de me juger, laisse-moi t’expliquer.— J’écoute tes explications…— Voilà. Au début de la soirée, tout se passait bien ; je dansais souvent avec un garçon qui me plaisait beaucoup. Mais plus tard dans la soirée, une fille a dansé avec ce garçon, lui a glissé quelques mots à l’oreille et ils ont quitté la soirée sans nous prévenir. Après leur départ, une amie m’a dit que cette fille couchait très facilement. En prononçant ces mots, je m’agenouille sur le canapé et commence à pleurer sur la poitrine de mon oncle. Il me prend dans ses bras, mais continue son interrogatoire. — Mais cela ne me dit pas pourquoi tu as bu, ni pourquoi tu n’as pas de culotte ! réplique mon oncle, insensible à mes larmes. Alors je continue mon récit : — En voyant ma déception, la fille qui m’avait prévenue m’a proposé de boire un verre pour ne plus penser au garçon, et comme cela me faisait du bien, j’ai un peu continué… réponds-je en larmoyant et en me collant contre mon oncle.— Et ta culotte ?— Mes amis ont commencé à jouer à un de ces jeux idiots où le perdant reçoit un gage. Habituellement je ne joue jamais à ce genre de jeu, mais là, comme j’avais un peu bu, j’ai accepté et j’ai perdu. Mon gage, c’était que le gagnant emporte la culotte de la perdante. Je me garde bien de préciser à mon oncle qu’avant qu’il ne retire ma culotte devant les invités, le garçon était autorisé à la frotter contre mon minou pour ...
«12...678...14»