1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... l’imprégner de mes sucs intimes. La réponse de l’oncle est sans appel. Très calmement, il me dit : — Demain, nous appellerons tes parents et nous leur répéterons tout ce que tu viens de me dire. En entendant ces mots, je suis catastrophée ; j’imagine les murs d’une prison qui s’élèvent autour de moi, une vie de recluse, et cela juste au moment où je commençais à goûter à la liberté. De grosses larmes roulent sur mon visage. À cet instant, je suis prête à tout, à mordre, à griffer, à frapper. NON ! Pas les parents, à aucun prix. Plutôt mourir. Je réfléchis très vite dans ma tête. Ma marge de manœuvre est quasiment nulle ; je dois jouer le tout pour le tout. L’effet désinhibant de l’alcool fait sauter toutes mes barrières morales, je suis prête à tout. Je me jette dans les bras de mon oncle en le suppliant : — Tout, mais pas cela : ce serait la fin de mes études. Tu sais, j’ai très bien travaillé jusqu’à présent ; à cette soirée, je n’ai vraiment rien fait de grave. Si tu m’aimes, ne dis rien à mes parents, je t’en supplie… Je me colle contre lui, essayant de le faire céder. Je sens un peu d’hésitation chez lui. Mes larmes commencent à l’attendrir, mais il me répond : — Je suis assez d’accord ; tu n’as rien fait de vraiment grave, mais nous avons pris des engagements clairs vis-à-vis de tes parents, et tu ne les respectes pas. Si je ne leur dis rien, je deviens ton complice. Je n’ai plus le choix. J’ai déjà anticipé cette extrémité, alors je joue ma dernière carte en ayant ...
    ... conscience que si je ne réussis pas maintenant, la partie sera définitivement perdue. — Il y a une autre solution… lui dis-je en baissant la tête. Après un silence interrogateur de mon oncle, je m’explique : — Quand je faisais de grosses bêtises à la maison, que mes parents ne savaient plus comment me gérer, papa me donnait une bonne fessée et tout rentrait dans l’ordre. Tu n’as qu’à faire comme lui, cela a toujours marché. Tu verras, après tu n’auras plus jamais de problèmes avec moi. Avant qu’il n’ait eu le temps de répondre ou même de réfléchir, je me positionne à plat-ventre sur ses jambes et relève ma robe au-dessus de mes fesses en cambrant discrètement mes reins pour bien faire ressortir mes rondeurs. Mon oncle ne dit rien, ne fait aucun geste. Il a probablement porté son regard sur mes fesses nues et offertes. J’ai là un argument beaucoup plus puissant que tous ceux que j’ai avancés jusqu’à présent. Je suis dans l’attente d’un refus ou d’une claque ; cette attente n’en finit pas, les secondes me paraissent des minutes et les minutes des heures. J’ai un nœud au ventre, une boule dans la gorge. Je suis tétanisée. Cette attente m’est très vite insupportable. Pour le décider, je renchéris : — Mon oncle, je t’en prie… fesse-moi fort, sinon je recommencerai. Tu dois le faire, pour moi, dans mon intérêt, si tu m’aimes. Encore quelques très longues secondes d’attente, et une première claque sonore s’abat sur mes fesses et me fait sursauter. Je pousse un cri de surprise. C’est ...
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