De bien douces gammes...
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... partitions me prenne plus d’une minute… Je sors donc, assez troublé. oooOOOooo Après la répétition, j’ai du mal à m’endormir. Je repense à ce baiser furtif. Et je sens le désir m’envahir : une belle érection ! Ma femme, Anne-Lise, dort. J’en suis donc réduit à me caresser avec discrétion, et l’image de Marie vient dans mon rêve éveillé. Mais je ne peux conclure, afin de ne pas réveiller ma compagne. Au petit matin, mon sexe est d’une raideur phénoménale qui me surprend. Anne-Lise est sur le côté, me tournant le dos. Je m’approche d’elle, ma main se pose sur son dos, puis glisse vers un sein. Je plaque mon ventre contre ses fesses, coince mon membre tendu dans le sillon. Elle sent mon désir, elle contracte les fesses alors que, doucement, j’opère un mouvement avec ma queue. Cela peut sembler un peu primaire, mais j’aime beaucoup me branler de cette manière. Certes, je le reconnais volontiers, la position « en petites cuillères » est on ne peut plus « pépère », mais hautement recommandable même aux hyperactifs. De plus mes mains ne restent pas inactives, l’une caressant un sein, l’autre se planquant sur la petit motte rebondie et poilue de ma chère épouse. Mes doigts ne tardent pas à trouver le petit bouton d’amour. Quant à mes lèvres, elles s’attardent sur sa nuque et au creux de son épaule… Elle gémit, et je ne tarde pas à la rejoindre dans ce petit duo vocal un peu différent des morceaux habituellement chantés à la chorale. Sa main s’empare de mon sexe pour le guider vers ...
... son petit nid bien humide de désir. Je la pénètre très facilement, tant notre excitation est grande. Mais, j’en suis surpris, mon érection ne faiblit pas : ce serait presque douloureux. Je me permets donc d’aller et venir sans souci d’un départ trop précoce, tout en continuant à lui masser le mont-de-Vénus en alternant douceur et fermeté. Sans doute manqué-je de vocabulaire pour décrire cette montée du plaisir. Nos respirations s’emballent, nos gémissements sont de moins en moins discrets, et bientôt je sens cette vibration qui vient du fond des reins, qui envahit mes bourses, et mon sperme jaillit au plus profond du vagin d’Anne-Lise. Nous restons ainsi, de longues minutes, apaisés, profitant de doux moment de tendresse. Lors de notre commun petit déjeuner Anne-Lise me demande si je peux rendre un service à Marie : — Elle n’a toujours pas rangé ses livres après son récent déménagement. Je me suis engagée pour toi en disant que tu pouvais l’aider. Il y aura sans doute Robert et Magalie. Je feins un léger agacement : — Tu aurais pu me demander si j’étais disponible. Bon, je vais voir ce que je peux faire avec nos amis.— Je regrette de ne pouvoir vous accompagner puisque je serai à notre maison de campagne pour surveiller les travaux. Anne-Lise ne peut deviner dans quel embarras elle me laisse. oooOOOooo Deux jours plus tard, je me rends à l’appartement de Marie. Elle m’ouvre, et garde l’air le plus naturel, me remerciant d’être venu l’aider dans ce tri. Je m’attends à trouver ...