De bien douces gammes...
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... toison est claire. Mais elle garde les jambes serrées. Elle m’attire vers elle, quête mes baisers. Puis cherche ma braguette de sa main, taquinant la bosse, ouvre lentement la glissière, insinue un doigt puis un autre, caresse doucement mon sexe par dessus l’étoffe du slip. Ma main remonte le long de ses cuisses et, sans forcer, écarte ses jambes, vient se poser sur son pubis soyeux. Mes doigts jouent avec les poils, descendent, cherchent la fente humide. Je sens sa liqueur d’amour qui humidifie l’entrée de la grotte. Je presse doucement. — Oui, me dit-elle dans un souffle. Elle continue à caresser ma verge, puis vient dégrafer ma ceinture, déboutonner le pantalon, me libérer de l’étreinte du slip où mon membre congestionné se sent vraiment à l’étroit. Elle reprend sa tendre manipulation, tirant délicatement pour décalotter le gland. Son pouce s’attarde sur le méat, le frottant à peine. — C’est trop bon !— Frédéric, je suis si heureuse que tu bandes ainsi pour moi. Je suis surpris par ces mots, car ma femme est plutôt prude quant à son vocabulaire. Mais j’apprécie grandement cet échange manuel qui n’a pas besoin d’être traduit dans des termes compliqués. Je n’en suis plus à cet instant, à me poser la question de savoir si l’existence précède l’essence ou l’inverse. Et ce que je ressens en ce moment envahit certes tout mon être, mais la localisation de ces sensations est très précise, quand bien même l’on affirme que le cerveau est le principal organe sexuel ! — Marie, je veux ...
... goûter à ta source. Elle comprend sans peine l’image, me laisse descendre tout en faisant une halte avec ma bouche sur ses petits tétons tendus. Puis je glisse sur son ventre, léchant au passage le nombril. Enfin je sens la toison qui chatouille mon nez. Je regarde ses lèvres intimes, d’un rose nacré, y pose mes lèvres. Ma langue remonte le long du sillon, l’ouvre, lèche le miel qui s’en échappe. J’entends les soupirs de Marie, ce qui ne peut que m’exciter. D’une main, je caresse ses fesses, de l’autre ses seins. Mon sexe est coincé entre mon ventre et le drap, mais j’évite de bouger pour ne pas partir trop vite. Du bout de la langue, je titille le petit bouton qui s’échappe de sa capuche. Cette fois Marie chante dans un autre registre qu’un air de Mozart, mais qui n’en est pas moins délicieux. Ses reins ondulent. Je pense qu’elle ne doit pas détester cette caresse à laquelle elle s’abandonne. — Arrête ! me dit-elle au bout d’un moment. Elle me renverse sur le dos, de la main s’empare de ma chair dressée, puis sans que j’aie le temps de réaliser, entoure mon sexe de ses lèvres. Sa langue pointe sur la petite bouche puis sur le frein. Du bout des doigts, elle titille doucement mes bourses. C’est vraiment irrésistible, et encore je dois faire un gros effort pour me retenir. Mais elle fait cela avec une telle tendresse, que je savoure chaque instant. — Adagio ma non troppo ! aurait dit notre chef de chœur. Un accelerando n’aurait pas été opportun. Et pourtant Marie après s’être ...