De bien douces gammes...
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... des romans à l’eau de rose, ou ces ouvrages vendus grâce au matraquage médiatique et qui ont déjà un prix littéraire avant même d’avoir été écrit. Ma surprise est grande : beaucoup de bonne littérature, Proust, Gide, Camus, mais également des ouvrages de réflexion philosophique ou sociologique. Il me semble avoir aperçu des ouvrages d’Heidegger et de Levinas ! Difficile alors de ranger des livres sans les avoir feuilleter au préalable… Les autres amis attendus ne sont pas encore arrivés. Marie est en jean, avec un chemisier blanc simple et boutonné. Elle se penche vers moi tout naturellement pour me tendre un Bergson. Je ne puis m’empêcher de regarder dans l’échancrure du chemisier, et de revoir la même dentelle et ce qu’elle enveloppait l’autre soir. Je pense être discret, mais elle voit mon regard. — Ben, dis donc, me dit-elle… Je rougis presque comme un adolescent pris en défaut. — Voudrais-tu en voir plus ? Je me sens de plus en plus gêné. Elle s’approche de moi, et comme l’autre soir, pose ses lèvres contre les miennes. Mais cette fois, elle me retient en se saisissant de mon cou. Un baiser qui se prolonge : nos langues se cherchent, se touchent, se caressent. On a envie que le temps s’arrête (mais je ne vais pas citer Lamartine qui écrivait bien mieux que moi !) : je retrouve des émotions que j’avais oubliées et qui me font remonter plus de quarante ans en arrière, au temps des premiers « flirts », quand embrasser une fille « avec la langue » suffisait à notre bonheur ...
... ! Mais mon corps est également envahi par une autre émotion qui se caractérise par une certaine raideur. Mes mains quittent sa nuque, glissent sur ses épaules, puis j’entreprends de déboutonner son chemisier. Elle fait de même avec ma chemise. Je peux alors deviner sa petite poitrine cachée dans un soutien-gorge qui n’a d’autre fioriture que son bord de dentelle. — Marie… il ne faut pas. Vaines protestations, car j’étouffe mes propres scrupules. Nos baisers sont de plus en plus fous, de plus en plus hardis. Folie des lèvres, folie des mains. Elle caresse ma poitrine, mes tétons. Ma main s’est posée sur un des bonnets du soutien-gorge, l’autre main cherche dans son dos l’attache. La trouve, et la défait ; dégage les bretelles, libérant ses deux merveilleux petits seins. Les aréoles sont pâles, les pointes petites et érigées. Mes pouces jouent avec. Puis je les pince tendrement. Marie frotte son ventre contre la bosse qui grossit dans mon pantalon. Nous ne cessons de nous embrasser. Mais Marie s’échappe et m’entraîne par la main vers sa chambre. Elle se laisse tomber sur le lit, mettant les bras en arrière, ce qui a pour effet de tendre ses petits seins. Elle déboutonne son jean. — À toi de faire le reste, me dit-elle. J’ouvre la fermeture à glissière, puis fais descendre le pantalon le long de ses jambes. Elle porte une culotte blanche, avec une simple bordure en dentelle. Je suis avide de savoir ce qu’elle cache, et la fais également glisser. Marie est une vraie blonde : sa ...