1. Ma femme est une salope, mais pas que... (2)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sucer. Quant à lui ses mains passaient de soupeser ses seins au creux de ses mains à lui caresser la croupe, tout en glissant ses doigts dans le sillon de son cul, maintenant nu et offert. Mais elle s’arrêta, mais assez penchée pour me faire comprendre qu’elle finirait pas le sucer, devant moi. Lui se mit bien face à moi comme pour encore mieux me montrer ma femme occupée à le branler, ses boules elles aussi maintenant sorties de sa braguette. Je la vis alors ouvrir la bouche et sortir sa langue en la bougeant en cercle comme si elle avait déjà le gland de Bruno en bouche. Et là, je les vis aussi, comme tout deux synchronisés, ne plus me regarder, mais regarder ensemble par la fenêtre. Un doute m’envahis alors et fit vite place à une certaine panique. Le genre de panique qui fait que l’on sait qu’il ne faut pas faire quelque chose sous peine que cela entraîne des réactions échappant à tout contrôle, mais dont on sait déjà qu’il nous sera impossible de résister, mettant alors en scène ces choses que l’on redoute tant et qui inévitablement se mettront en branle. Je tenta alors désespérément de ne pas me retourner pour voir ce qu’il se tramait depuis tout ce temps dans mon dos, sans pour autant attirer l’attention de mes deux clients, qui même s’ils étaient un peu âgés, n’auraient pas manqué d’être interpellés par ma conduite assez soudaine et quelque peu impolie. Je fis alors ce que font les gamins dans les salles de classe quant ils veulent regarder sous la jupe de leur ...
    ... nouvelle maîtresse assise à une table, laisser tomber son stylo et le ramasser lentement. Je laissai alors tomber le mien pour enfin constater que de derrière la fenêtre et ce depuis un bon moment, mes autres ouvriers, ceux présents à l’atelier ce jour-là, qui se délectaient de la scène. Parmi eux, un seul n’avait jamais vu ma femme toute nue et encore moins tenté ou réussi à la peloter. C’était l’apprenti, tout frais émoulu sorti des écoles, en stage depuis trois jours dans l’entreprise. Bien que dans le cadre ce récit on le considérera comme étant agé d’au moins 18 ans, son air juvénile, presque éféminé, semblait le faire apparaitre comme étant bien plus jeune. A n’en pas douté il était encore puceau et même s’il avait sans doute l’habitude de se palucher en regardant des femmes nues denant son ordinateur, on voyait là aussi que c’était bien la première fois que lui était donné de voir d’aussi près et pour de vrai, une vraie "meuf" complètement à poil, une aussi jolie mature ainsi offerte à son regard avide en l’occurence ma femme et sa patronne. Certes il l’avait déjà croisée et j’avais déjà remarqué qu’il la matait avec insistance. Sans doute aussi que ses potes lui avait déjà parlé de la belle Colette, la femme du patron, qu’ils avaient dû fantasmer rien qu’en prononçant son nom, qu’ils devaient trouver ma femme "trop bonne"bref, que leurs juvéniles montées de testostérone les aurait vu s’occuper de Colette tel que dans les vidéos porno qu’ils regardaient régulièrement. Et ...
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