Ma femme est une salope, mais pas que... (2)
Datte: 24/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... donc, ses yeux, mais pas que les siens, ébahis, étaient scotchés sur les seins nus, le cul et la chatte de ma femme, de leur patronne. Pas en reste, lui ainsi que d’autres, avaient tous en main leur smartphone, sauf Lucien le plus agé, qui lui se branlait carément, comme il l’avait déjà fait en face de Colette à mainte reprises. Ils prenaient soit, prenaient des photos, soit filmaient leur jolie patronne qui s’était fait mettre complètement à poil par l’un d’entre eux, lui-même continuant à la tripoter et à se faire branler par elle, le tout en face de moi et de deux clients qui visiblement n’avaient pas encore pris part à la fête. Il était certain, comme cela s’était déjà produit par le passé avec d’autres jeunes, mais j’ai déjà mentionné que j’en reparlerais plus en détail dans un autre chapitre, ce qui n’était pour moi encore qu’un gamin, ne manquerait pas de partager ce qu’il avait pris en photo et en vidéo avec d’autres copains de son age, photos et vidéos qui une nouvelle fois, seraient également partagée et offerte à la vue de tous sur internet. Certains, sans scrupules, ne se privant pas pour renseigner le nom complet de Colette, le mien, celui de mon entreprise, notre adresse, téléphones, e-mails et j’en passe, que qui donna par la suite droit à d’autres péripéties que je ne manquerais pas non plus de relater dans un futur chapitre. Miraculeusement mes deux clients certes un peu âgé, ne semblaient pas avoir remarqué le coup du stylo et ma brève supercherie, tout ...
... comme il était tout aussi miraculeux qu’ils ne soient pas interloqués par la présence de mes autres ouvriers derrière la fenêtre, regardant totalement absorbé autre chose que leur propre présence. A cela je dirais que de par leurs lunettes respectives à la dioptrie sûrement assez élevée, ainsi que de par leur position pas tout à fait face à cette fenêtre, un reflet devait leur renvoyer l’image de ce qu’ils croyaient être eux même, en lieu et place de ceux qui étaient bel et bien là de l’autre côté de celle-ci. Je me disais que finalement cela pouvait bien se terminer, que Colette et Bruno s’éclipseraient discrètement par la porte de l’atelier, peu importe que cela continue ou non, tant que mes deux clients n’en soient pas témoin. Mais c’était là pêcher par soudain excès de confiance, à la Richard Virenque, à l’insu de mon plein gré, et croire que finalement j’aurais pu espérer avoir un peu de chance, resterait à tout jamais un doux rêve éveillé mais jamais vécu. Bruno, voyant que j’étais maintenant au courant que les autres voyaient tout depuis le début, voyant aussi que comme à mon habitude et à ma réputation, je le laissais faire, même s’il n’aurait sans doute pas cru au départ que cela aurait dépassé le simple pincement de fesses ou le léger pelotage de nichons, là l’avoir laissé mettre ma femme toute nue en ma présence et celle de deux clients certes un peu aveugles et sourds, il n’allait assurément pas en rester là. Ce que j’avais cru comme étant en soi la finalité de ce ...