1. Ma femme est une salope, mais pas que... (2)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... genoux, avait entrepris de pistonner la chatte de ma femme avec plusieurs doigts. Par moment, il les ressortait tout humide pour les renifler et s’en réjouir. A d’autres, il s’attardaient sur les loches de Colette qui pendaient et se balançaient dans le vide pour les attraper et les lui soupeser. Par moment il lui attrapait son sein à deux mains, approchant sa bouche brillante de salive pour en humecter le mamelon et le téton qu’il suçait alors bruyamment et goulûment comme un enfant affamé tète sa mère ou sa nourrisse. Quand il le pouvait, il aimait aussi tapoter les nichons de Colette, ou bien encore lui tirer les tétons. Il lui caressait aussi les fesses, lui léchait le creux des reins, la croupe tout en regardant son compère se délecter de sa pénétration anale. Lui avait agrippé Colette par les hanche et à chaque fois qu’il venait taper ses fesses quant il était au fond d’elle mais plus précisément quand il avait enfilé tout la longueur de sa bite dans le cul de ma femme, son gros ventre aussi venait claquer mais sourdement, atténué par la légère sueur du à son effort. Bruno quant à lui, n’espérait pas si vite que je puisse voir d’aussi près ma femme lui sucer la bite de la sorte. Par moment il lui prenait la tête comme pour encore mieux lui bourrer la bouche, je voyais alors la déformation que faisait son gland sur l’intérieur de sa joue, tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, ou quand il l’enfonçait profondément dans sa gorge avant de la retirer un instant, suintante ...
    ... de salive. Colette alors tout en me regardant, lui léchant le gland de sa langue experte, lui titillant son bout de la pointe de celle-ci, serrant sa verge entre ses doigts pour la lui secouer tantôt lentement, tantôt vivement, de l’autre main je la voyais lui soupeser les bourses, aller et venir le long de son fion, lui faire crisser les ongles sur le dessous de ses couilles, puis aller lui titiller son trou de cul. Parfois c’était elle qui menait le jeu. Elle lui agrippait les fesses après les avoir massées, puis se faisait elle-même une gorge profonde puis laissait filer et ressortir la queue de Bruno entre ses lèvres serrées jusqu’à ce que son gland fasse un gros « Plop » humide. A d’autres moment, il lui frottait sa queue sur le visage, la lui tapait sur les joues, labourait les lèvres entre-ouvertes de ma femme avant de recommencer à la lui fourrer en bouche. Je ne vis pas le temps passer et en avait presque oublié que les autre zouaves voyeurs étaient, bien que statiquement, aussi acteur de ce qui se passait dans mon bureau avec ma si jolie femme. Eux aussi à n’en pas douter ne mettraient pas longtemps à la sauter et prendraient aussi plaisir à le faire devant moi. Les petits vieux échangèrent leur place. Mais plus malin, celui qui venait de sortir de son cul s’allongea et amena Colette à, en levrette elle l’enjambe et le surplombe. Il pourrait ainsi pendant que le second prenne lui aussi son plaisir à enculer ma femme, lui enfoncer sa verge tendue dans le sexe et lui ...