Photographier, c'est ma passion et mon métier
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
... cours à ses envies et à ses fantasmes. J’étais le photographe d’une star qui se dévoile, d’une femme libérée qui écarte ses lèvres vaginales et se caresse sans ambages, d’une femme qui se donne du plaisir en caressant ses petits seins érectiles, d’une femme qui jouit en regardant l’objectif, d’une femme qui, à genoux, se passe une main entre les cuisses pour enfouir des doigts dans son vagin brûlant, d’une femme qui fait l’amour seule devant mon objectif, pensant à ce qu’elle veut, du moment que je puisse fixer ces instants uniques. À aucun moment de cette soirée je n’ai, à proprement parler, été excité. Professionnel, concentré, attentif, mais pas homme. Ce n’était pas pour moi une scène de sexe, mais un tableau vivant dont je devais tirer une substantifique matière, éphémère, et qui ne se produirait qu’une fois, là, dans le millième de seconde qu’il ne fallait pas rater. Mais quand tout ça m’est revenu à l’esprit alors que la séance était terminée, j’ai eu l’impression de faire l’amour à une autre femme. Nous faisions l’amour de façon conventionnelle, classique, sans beaucoup d’originalité. Ça m’allait très bien. Mais la revoir à genoux, ou sur le dos les cuisses écartées et les doigts effectuant un travail précis sur son clitoris, m’a révélé des fantasmes particulièrement excitants, me conduisant très vite à une éjaculation que je n’ai pas pu contrôler. — Eh bien, mon chéri, on dirait que tu avais une grosse envie…— Oui ; excuse-moi, je n’ai pas senti que ça venait.— Mais ...
... c’est rien. T’inquiète pas.— Mais tu n’as pas joui…— Tu peux remédier à ça, mon chéri. Tu pourrais me finir avec ta langue ou tes doigts. J’adore ça.— Moi aussi j’adore ça. Mais tu ne voudrais pas essayer quelque chose ?— Quoi donc ?— Je ne t’avais jamais vue te masturber. Pardonne-moi, mais en y repensant, j’ai trouvé ça très excitant. Tu voudrais le faire maintenant, juste pour moi ? Karine n’a pas répondu. Elle s’est reculée, le dos contre les oreillers, a écarté largement ses cuisses en plaçant ses talons contre ses fesses, a disjoint ses lèvres d’une main, et de l’autre s’est mise à caresser son petit bouton tout doucement. Je pouvais voir dans son regard une réelle satisfaction. Peut-être avait-elle eu envie de faire ça avant, de se donner en spectacle devant moi, mais malgré toutes ces années passées ensemble, n’avait-elle simplement pas osé. En tout cas la vision de cet onanisme torride m’a rendu hystérique. Je me suis mis à rebander alors qu’habituellement je devais attendre le lendemain. Je me suis laissé aller à me masturber en l’admirant, ce qui a eu pour effet de décupler encore son excitation. J’ai vu ma femme jouir en criant, se tordre sous les tensions qui se relâchaient soudain, et j’ai joui moi aussi, sans retenue, laissant mon sperme s’écouler sur les draps. Nous nous sommes embrassés longuement, heureux de cet épisode inattendu de notre vie, remplis d’images que je n’avais pas fixées sur pellicule mais que nous garderions quand même à jamais. En goûtant sa ...