1. Photographier, c'est ma passion et mon métier


    Datte: 30/06/2017, Catégories: fh, fhh, couleurs, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation intermast, Oral pénétratio,

    ... Je devais ne rien manquer des reflets, des lumières, des émotions qui passaient par le corps et par les yeux. Sylvio a passé son bras droit sous le corps de la déesse qui crevait mon objectif, sa main cherchant le bas de son ventre. Karine a plié la jambe gauche et reposé son pied contre son genou droit, libérant l’accès à cette main qui l’explorait. Il l’a plaquée sur le pubis de Karine, puis descendu ses doigts pour chercher l’humidité, en sentir la chaleur, en tester la sensibilité. Mon appareil crépitait, stockant tout ce qu’il pouvait de cet érotisme torride que je ne pourrais apprécier réellement qu’une fois mon travail terminé. La bouche de Sylvio cherchait celle de mon épouse, qui gracieusement a tourné la tête et accepté sa demande, accueillant sa langue dans sa bouche et ses doigts dans sa vulve. Il n’a alors plus été question de pose, ni de pause d’ailleurs. Leurs sens se sont enflammés comme un fétu de paille, leurs sueurs se sont mêlées quand leurs corps s’emmêlaient, ne faisant plus qu’un. J’ai capturé chaque seconde de leur étreinte torride, débridée. Leurs deux corps si différents s’égaillaient dans un ballet si gracieux, si naturel, si inattendu et si sensuel qu’ils ne pouvaient qu’exulter et se laisser aller. Je m’étais préparé à photographier une simulation de coït, un fac-similé de copulation, mais pas une scène de sexe brut totalement obscène et dénuée de tabous. Ils se sont embrassés avec fougue, se réclamant l’un et l’autre un total abandon, se criant ...
    ... leur plaisir charnel en oubliant l’objectif. Tel un matador, Sylvio a possédé Karine à genoux sur le canapé, lui claquant les fesses avec force en lui arrachant des cris aigus. Je la voyais se cambrer pour le prendre plus au fond, sentir le bassin de Sylvio la percuter. Il lui tirait les cheveux pour lui faire relever la tête et venait la lécher avant de reprendre ses assauts sauvages. Je n’en étais pas encore à me demander ce que je ferais de ces photos, mais l’idée m’a traversé l’esprit que je ne pourrais peut-être pas les regarder, tellement la femme que je voyais là dans ma mire était dans un état de transe indescriptible, un état que sans doute jamais je ne pourrais lui offrir, et qu’elle aurait sans doute envie et besoin de connaître à nouveau. Elle a réclamé sa semence, s’affalant sur le ventre alors qu’il se lâchait. Ils ont continué de s’embrasser et de se caresser jusqu’à ce que Karine redonne de la vigueur à Sylvio en le suçant avec application. J’ai changé ma carte mémoire pour saisir et figer la suite de leurs ébats imprévus, mais si intenses. Ils m’ont oublié et ont oublié mon matériel, se donnant complètement l’un à l’autre sous la lumière qui devenait, comme eux, de plus en plus chaude. J’ai saisi de nombreuses fois le visage de Karine quand elle jouissait, les yeux révulsés, les lèvres tremblantes. En déclenchant en rafale je me disais que je pourrais lire sur ses lèvres ses déclarations bestiales au sauvage qui la sautait sans retenue. Je les ai photographiés ...