1. Photographier, c'est ma passion et mon métier


    Datte: 30/06/2017, Catégories: fh, fhh, couleurs, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation intermast, Oral pénétratio,

    ... endormis, enlacés, puis au réveil, un réveil tendre fait de caresses douces et de baisers profonds. La bestialité du début s’est mue en tendresse, en subtilité. Mon appareil ne voyait plus de sexe mais de l’amour, pur et fort. Il est venu sur elle, et sans quitter sa bouche qu’il léchait et embrassait, il s’est introduit doucement en elle pour la baiser tout doucement, lentement, profondément. Karine le serrait dans ses bras pour qu’il reste bien collé à elle, pour le sentir l’envahir et la combler. Les mouvements imperceptibles du bassin de Sylvio forçant le passage de sa queue raide faisaient tressaillir Karine à chaque poussée. C’est dans cette position que j’avais imaginé un autre sur ma femme, lui faisant l’amour avec tendresse, cherchant à atteindre ensemble le maximum de plaisir. C’est dans cette position que j’avais joui en elle, les yeux fermés, ressentant mon plaisir presque par procuration. Leurs corps tendus par l’orgasme, ensemble, je les ai capturés. Ne me manqueront que les odeurs de sueur et de sperme, et surtout leurs râles, leurs cris, leurs souffles. Le talent du photographe, c’est d’être capable de montrer encore plus que ce que l’œil voit, et de faire dire son histoire propre à chaque photo. __________________________ Nous continuons à créer des revues sur différents thèmes, Karine étant d’un excellent conseil à la fois pour le choix de ces thèmes et pour leur mise en valeur auprès des distributeurs spécialisés. Nous faisons également des portraits, ...
    ... classiques, et des reportages divers sur commande. Les photos de Sylvio et Karine ne seront jamais diffusées. Elles sont trop fraîches, trop parfaites, trop intimes. Nous avons diffusé des nus – parfois équivoques – mais jamais de sexe explicite. Les critiques ont toujours vanté mes qualités de mise en scène dès lors qu’un homme et une femme se dévoilent devant mon objectif, mais ils n’ont jamais eu l’occasion de voir des scènes parfaites, où personne ne simule. Karine m’a avoué avoir pris un plaisir immense à faire l’amour pour moi avec Sylvio, et n’aurait pas insisté si j’avais décidé de ne pas reproduire ce type d’expérience. Mais il se trouve que moi aussi j’avais adoré ça, sur l’instant pour ce que cette scène avait d’inspirant, puis après, quand je regardais les photos, tentant de vivre leur plaisir à mon tour. Alors nous avons recommencé, plusieurs fois, souvent, dans différents endroits, avec différentes personnes. Avec un homme seul, mais aussi avec deux hommes. Puis avec une femme, une femme et un homme. Nous cherchions la perfection de la prise de vue, et nous vivions la perfection des sens, l’aboutissement des fantasmes les plus obscènes. Quand nous faisons l’amour, je ne peux pas m’empêcher de m’imaginer derrière elle avec mon œil greffé au reflex, à saisir ses fesses bouger, ou à détecter son humidité s’étendre entre ses cuisses. Karine aimerait que quelqu’un nous photographie ; elle est persuadée qu’encore plus d’amour et de plaisir transparaîtrait dans les clichés ...