1. Ursula, coach très perso (2)


    Datte: 12/11/2017, Catégories: fh, ffh, médical, amour, volupté, Oral fsodo, init, journal, humour,

    ... sensualité. Puis viennent les caresses, d’abord douces, puis de plus en plus franches, appuyées. Elles permettent de réveiller lentement le plaisir qui reste tapi dans le ventre. Pincement, empaumement, tortillement d’un bout de sein. Erection du téton qui surgit des replis de l’aréole. Sein qui gonfle et se tend. Pointe qui durcit et lance déjà les premières ondes de désir vers le ventre. Ventre qui se creuse et ondule. Entrejambe qui s’ouvre et se ferme, cachant et montrant la conque humide et chaude de l’être aimé, que l’on va aimer. Et la descente vers le sexe. Où les doigts découvrent et ouvrent les lèvres qui se graissent à l’humidité du plaisir. Le clitoris, caché dans son fourreau de chair qui se tend et pointe hors de son repli un peu flasque, doux et soyeux. Les lèvres, fripées et frisolées qui se laissent écarter pour mieux enserrer les doigts qui les pénètrent. Cette chaleur et cette humidité ambiante. Le contraste entre la peau des lèvres et le glissant de l’intérieur. La recherche de cette zone si sensible et si difficile à localiser où l’ongle va gratter doucement pour déclencher de longs spasmes, de longs tressaillements du corps et arracher de longs mugissements, témoins du plaisir qui monte et qui explose. Et la descente continue. Les doigts glissants de cyprine, la fente vous dirige vers cette rondelle serrée, plissée qui s’offre à leur approche. Les fesses s’écartent, invitant l’intrusion de la main et des doigts au plus profond de leur raie, vous guidant ...
    ... naturellement et, sous les spasmes du désir, c’est une invitation à pratiquer un lent va-et-vient qui va aboutir à de nouveaux cris de jouissance, avant que le corps ne retombe, épuisé par cette première manche. Et sans laisser le temps aux corps de reprendre leur souffle, la verge tendue, les lèvres humides vous accueillent. Et dans un mouvement saccadé des reins, vous entamez ce lent va-et-vient qui vous conduit au bord du plaisir. Surveillant votre partenaire, qui a noué ses jambes autour de vos reins, qui vous guide dans la montée de son plaisir, qui vous force à accélérer ou à ralentir, vous vous penchez sur ses seins et vous en cueillez la pointe entre les lèvres, les dents, jusqu’à son explosion finale. Alors, pantelante, le souffle court, la mèche de cheveux collée au front par la sueur, le sein hérissé, le ventre creusé par le plaisir neuf et encore en vagues, elle vous tend sublimement sa croupe et quémande votre membre dans son petit trou. Avec mille précautions, elle empaume votre dard et, la tête appuyée sur l’oreiller, entame une gymnastique aléatoire qui vous conduit directement à cet antre secret où seuls quelques initiés ont accès. Vous voilà au bord d’un cratère chaud et humide qui palpite. L’orifice, sous votre poussée s’ouvre et vous aspire, masse au passage votre hampe. Par quelques coups de reins audacieux, vous sentez vos bourses déjà buter sur le sexe de celle qui vous reçoit et là, vous donnez libre court à votre fantasia, qui ne se terminera que par ...
«12...5678»