1. Béa ou les début d'une docile


    Datte: 25/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... fixe, l’air empruntée, cherchant des réponses à ses interrogations. Discrètement, je lui fixe un rendez-vous pour le lundi soir, non loin de la gare.Elle est arrivée alors que je descends du train. Nous n’avons pas été boire un verre. Je l’ai entrainée sur un banc, un peu à l’écart. En quelques questions, j’ai mon jugement. De plus, elle semble amoureuse de ma mère, alors, je lui propose un petit scénario à mettre en place, dès ce soir.Ensemble, on est arrivé chez ma mère. Devant elle, à moitié nue, je pousse son amie sans trop de ménagement. Cette femme se fait alors soumise, (tombant) à genoux devant maman. Ma mère qui ne percute pas immédiatement. D’une main sur l’épaule de la femme, celle-ci se penche, baise les pieds de maman, l’affaire est dans le sac. Le soir même, maman couchait avec cette femme qui se plia à tous ses désirs.Le week-end suivant, avec ma mère équipée d’une belle ceinture gode, il nous arrive souvent de les baiser ensemble, dans le salon. Ma mère n’hésite plus à me rouler des pelles d’enfer, surtout au moment de changer de soumise. Ma mère est devenue Madame. Certaines de ses amies se sont découvert des envies folles de subir maman, Madame Carole. Non seulement, ma mère et moi, nous nous embrassons, mais il nous arrive, devant ses amies et Béa de nous envoyer en l’air comme des cochons.Un soir que nous rentrions du cinéma, Béa et moi, dans le salon, il n’y avait pas moins de quatre femmes aux petits soins pour Madame Carole. J’envoyais Béa ...
    ... immédiatement aidé ses femmes. Maîtresse Carole me permet alors d’en baiser une ou deux, toutes même. Autant vous dire, notre appartement, c’est un lupanar, il ne se passe pas un jour où l’une ou l’autre des petites amies, de maman, ne viennent faire son ménage, son repassage, tout quoi, aidant Béa dans son labeur. Mais le plus beau, c’est quand ces femmes s’aventurent entre les cuisses de ma mère, là, c’est juste sublime à regarder. J’en profite aussi et largement, c’est dans le contrat de ces femmes. Ce que j’aime avec elles, c’est quand elles me supplient de les sodomiser, ce qu’elles n’osent avec leurs époux ou autres amants. Il faut dire que maman aime raconter comment je m’amuse à remplir le cul de ma belle galloise.Faute de moyens, ce n’est deux ans après qu’on fait notre voyage de noces en Grande-Bretagne. Nous y avons visité tous les clubs fétichistes de Londres et ses alentours. Il en fut de même dans chaque grande ville visitée sur cette ile. Ma Béa était heureuse de se faire prendre sous mes yeux pendant que je baisais une autre femme ou que je la punissais. Elle fut aussi punie et, cerise sur le gâteau, percée et annelée.De retour dans notre nouvel appartement, elle se fit plus soumise encore, devenant mon esclave, refusant la moindre liberté, le moindre cadeau autre qu’un objet de contrainte, de supplice. Nous vivons au-dessus de chez ma mère. Béa me fait deux robustes et beaux garçons. Elle fait tout pour retrouver sa silhouette d’avant. Et cela fait presque trente ans que ...