1. Innocence de la toute première fois...


    Datte: 26/07/2021, Catégories: fh, jeunes, amour, volupté, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, init,

    ... chaud. D’un simple regard, d’une pression de sa bouche sur la mienne, d’une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie qu’elle est prête, qu’elle m’attend… Et c’est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. Peut-être pour m’assurer que je ne rêve pas ! Peut-être pour la rassurer une fois encore ? Peut-être aussi pour lui laisser encore cette toute petite seconde de réflexion, afin qu’elle puisse dire « Non »… Mais cette fois je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel. Elle s’étend sur le dos, s’ouvre, remonte légèrement les jambes et s’offre à moi… Enfin, je la surplombe. Hésite encore puis me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux… et vais, d’un doux et long baiser, cueillir ses lèvres. Ses mains se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes… Elles appuient, m’incitent à m’abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Comme par enchantement l’un trouve le chemin alors que l’autre s’écarte pour me recevoir. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, ses mains me bloquent immédiatement, m’obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains largement appliquées sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Cette ...
    ... fois j’appuie ma pression, bute et force légèrement le passage. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l’extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m’affole, mais c’est trop tard ! Déjà, je m’écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J’ai l’impression que cela n’a duré qu’une seconde, qu’une minute… Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire… Heureux d’avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d’avoir «fait l’amour », de passer dans la catégorie des « hommes » ! Heureux aussi de découvrir qu’elle n’était pas « couverte de sang », comme ces crétins le faisaient croire dans la cour de récré. Mais malheureux de mon empressement, de n’avoir pas su contrôler mes réactions (mais je découvrirai plus tard, bien plus tard, que cela s’apprend aussi). Malheureux et embêté, soudain, d’une étreinte sans protection… Et si jamais… (Non, à cette époque, il n’y avait pas le Sida, seulement la crainte de faire un bébé… Mais elle saura me rassurer, plus tard dans l’après-midi, en me montrant sa plaquette de pilules…) Lors de cette nouvelle découverte, je me suis senti penaud… Non seulement Elle avait pensé aux pilules, mais savait que nous aurions ces quelques instants de solitude « à deux », prévoyante et déterminée à m’offrir, à ce moment précis, sa toute première fois… En repensant ...
«12...4567»