"Les Vacances" : après la lecture, dans un train
Datte: 28/07/2021,
Catégories:
fh,
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jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
forêt,
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Oral
fouetfesse,
orties,
init,
nostalgie,
initiatiq,
prememois,
... ensuite que je n’ignorais pas qu’elles devaient se présenter vierges au mariage. Mais, ajoutai-je tout benoîtement, il y avait moyen de s’amuser tout en sauvegardant leur petit capital. Vous vous demandez peut-être comment, ayant juste leur âge, je pouvais être en mesure de les initier à de certains plaisirs qu’elles croyaient prématurés. C’est que la marquise de… mais qu’importe son nom ! Une marquise du faubourg Saint-Germain, grande amie de ma mère, m’avait déniaisé le mois précédent. Des cris nous alertèrent, venant du chemin : le jeune Jacques nous cherchait. En toute hâte, mes cousines remirent leurs vêtements en ordre, se levèrent et répondirent que nous étions dans la cabane. J’eus tout juste le temps de leur dire qu’il leur était loisible de me rejoindre dans ma chambre, la nuit suivante, à l’heure qu’elles voudraient, l’une ou l’autre ou les deux ensemble. Nous laissâmes Paul et Sophie à leur solitude, disant à Jacques que nous ignorions où ils se trouvaient. Combien de doux regards furent échangés entre mes cousines et moi pendant le dîner, je ne saurais le dire ! Elles n’étaient nullement jalouses l’une de l’autre. Leurs pieds déchaussés venaient, de temps à autre, caresser mes chevilles et mes mollets, se rencontrant parfois, ce qui les faisaient rire en catimini. Mais voici que nous quittons la gare de Nantes. Le contrôleur ne reviendra plus nous importuner, et nul autre voyageur n’est susceptible de nous rejoindre. Dans un peu plus d’une heure nous serons à ...
... Pornichet, où l’ardente Sophie m’attendra sur le quai. Paul, qui a appris chez les sauvages – bien mal nommés, puisqu’ils sont en réalité en avance sur nous sur ce terrain-là – qui a appris chez les sauvages, dis-je, le plaisir de partager son épouse avec son meilleur ami, Paul sera au casino. Il ne manquera pas de nous rejoindre plus tard et, toute la nuit, Sophie s’abandonnera de bonne grâce à nos entreprises, qui la feront hurler de plaisir. Puissiez-vous trouver, adorable enfant, un mari aussi prévenant ! Je suis disposé à vous conter la suite de mon aventure, si vous le souhaitez. Verriez-vous le moindre inconvénient à ce que je tire les rideaux des fenêtres donnant sur le couloir ? Bien. Voilà qui est fait. Puis-je m’asseoir à côté de vous ? Merci. Camille et Madeleine me rejoignirent, en chemise de nuit, aux alentours de dix heures du soir. Elles commencèrent par m’affirmer qu’elles n’étaient venues que pour ne pas me décevoir, qu’elles voulaient simplement me tenir compagnie et qu’il était hors de question que j’entreprisse quoi que ce fût qui pût porter atteinte à… ce que je savais. J’opinai d’abondance. J’étais en robe de chambre et je n’avais rien dessous. Rien d’autre que mon désir à l’ample turgescence, hé hé hé ! Assis au bord de mon lit, j’eus tôt fait de les tenir par les hanches, comme cela. Puis de m’emparer de l’un de leurs seins, comme cela. Je l’avais déjà fait, donc je pouvais le refaire. Sur leur chemise puis dessous, après en avoir déboutonné le haut. ...