"Les Vacances" : après la lecture, dans un train
Datte: 28/07/2021,
Catégories:
fh,
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ffh,
hplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
forêt,
train,
Oral
fouetfesse,
orties,
init,
nostalgie,
initiatiq,
prememois,
... Leurs robes en partie relevées dévoilaient de jolies chevilles, comme sont les vôtres, belle enfant ! M’en voudrez-vous beaucoup si je me permets d’effleurer, comme je le fis ce jour-là, celle qui est à ma portée ? Merci, grand merci ! Elles avaient des bas de soie, elles aussi. Quelle douceur sous mes mains ! Je remontai jusqu’aux genoux, sous la robe, comme cela. Mais vous froncez les sourcils et décroisez les jambes, je n’aurai garde d’insister. Mille pardons, je me tiendrai désormais tranquille, je vous le promets. Elles étaient deux. Je pensai tout d’abord que c’était une de trop, puis j’en pris mon parti. J’avais une main sur le genou de Camille à ma droite, et une autre sur le genou de Madeleine à ma gauche. En me priant de prendre garde à ne pas abîmer ses bas, Camille empoigna mon propre genou et le secoua légèrement. Je suggérai alors de les ôter, ces bas, en portant la main sur l’attache de sa jarretelle, dont la robe légère ne masquait pas l’emplacement. Elle haleta un peu, crispa sa main sur mon genou mais refusa. Madeleine souleva légèrement ma main gauche, la posa sur mon propre genou et s’évertua à enlever elle-même ses bas, en remontant sa robe le moins possible. Je vis néanmoins, l’espace d’un instant, la blancheur immaculée d’une cuisse. Mon émotion en fut considérable. Madeleine ensuite reprit ma main et, tranquillement, la posa… non sur son genou mais plus près de sa hanche. Sur sa robe cependant, bien entendu. Si je vous promets de ne plus tenter de ...
... remonter les mains trop haut, et comme vous venez de recroiser vos jambes, me permettrez-vous, belle enfant, de rendre à votre cheville l’hommage qu’elle mérite ? Ah, merci, merci ! Vous n’ignorez pas que se manifeste d’une certaine manière l’émotion d’un garçon quand le désir l’envahit. Il en va de même, sachez-le, chez les vieux messieurs – enfin, disons les messieurs d’âge mûr – quand ils sont, comme moi, en face d’une aussi séduisante jeune personne. Mes cousines n’étaient pas totalement ignorantes du phénomène. Il nous était arrivé, quand nous sortions de l’onde, Paul et moi… Vous devinez, n’est-ce pas ? Elles jetaient donc, de temps à autre, de petits regards sur ma braguette. Vous êtes charmante ! Je tentai de remonter mes mains sous leur robe. Elles y firent obstacle en s’emparant de mes poignets. Leur disant qu’en aucun cas je ne leur ferai subir la moindre contrainte, et que de cela elles pouvaient être absolument sûres, je passai les bras autour de leur épaule. Elles se blottirent alors contre moi, toutes confiantes. Des épaules je descendis bientôt aux hanches. Puis remontai, insensiblement, au bord des seins. Me penchant vers Camille, je portai mes lèvres à son cou, à l’endroit précis où battait une artère. Camille me laissa faire. Ensuite je fis de même à Madeleine. Peu de temps après j’avais chaque main sur un sein, sur la robe, puis sous la robe, et enfin sous la chemise. Les tétons se hérissaient de belle manière, me chatouillant les paumes. Je leur exposai ...