1. Carine et son mystère


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, jeunes, bizarre, hotel, fdomine, dispute, Oral pénétratio,

    ... la soirée infirmières.— Elle est bizarre, non ?— Je crois qu’elle est timide. Elle ne parle pas beaucoup. Agnès, la copine de Bruno, est partie se changer avant que nous allions en boîte. Pas Carine. J’aurais pourtant aimé qu’elle se mette en jupe, pour voir ses jambes. Ou fasse quelque chose qui prouve que je ne lui étais pas indifférent. Le malaise a perduré en boîte. J’en ai eu assez d’essayer de lui plaire, de lui parler. J’ai rejoint deux types que je connaissais vaguement. Ils étaient accompagnés de trois filles, dont l’une me plaisait. J’ai dansé avec elle. Pendant le slow, j’ai senti une main qui me tapait sur l’épaule. C’était Carine : — Viens, il faut que je te parle. Je l’ai suivie, sous le regard narquois de la fille avec qui je dansais. Nous nous sommes isolés dans un coin de la boîte : — Qu’est ce que je t’ai fait ? Tu m’emmènes ici, et tu dragues une autre fille ! J’ai l’air de quoi, moi ? Elle n’était même pas en colère. Toujours son ton neutre. Il y avait quand même un peu de désarroi dans ses yeux. C’était entièrement de ma faute. Jamais je n’aurais dû inviter à un week-end cette fille que je ne connaissais pas, qui ne me tentait même pas. Mais maintenant, elle était là. Il fallait que j’assume : — Je ne la drague pas. On dansait, c’est tout. Et puis viens, on rentre. Elle ne s’est pas pour autant rapprochée de moi dans la voiture. Et, une fois arrivée à la maison, a filé droit dans la salle de bains. Je l’ai entendue prendre une douche. Je me suis ...
    ... déshabillé entièrement et me suis couché. Elle est sortie de la salle de bains avec un long tee-shirt qui lui descendait à mi-cuisse, sans s’étonner de me voir nu dans le lit. Bruno et Agnès venaient de rentrer. Elle a quitté brièvement la chambre pour leur souhaiter bonne nuit, puis s’est couchée de l’autre côté du lit et a éteint la lumière… Jamais, je n’avais rencontré une fille aussi froide, aussi déconcertante. Que croyait-elle ? Qu’elle pouvait passer la nuit dans le lit d’un garçon nu sans rien lui donner ? Je l’ai embrassée. Ses lèvres étaient douces, sa langue répondait à la mienne. Mais je la sentais passive. Et ses mains restaient sur ma nuque tandis que les miennes partaient explorer son corps. J’ai voulu lui enlever son tee-shirt. Elle m’a arrêté en disant qu’elle avait froid. C’était bien parti ! Mais le contact de sa peau contre mon sexe me faisait bander. Autant ne penser qu’à moi, et la baiser comme un égoïste puisque de toutes manières mes préliminaires ne lui faisaient aucun effet. J’ai été surpris de constater, quand j’ai ouvert son sexe, qu’il était humide. Mais mes caresses la laissaient de marbre. Inutile de continuer. Je suis venu sur elle pour la prendre en missionnaire. Elle a écarté ses jambes et les a relevées pour que je la pénètre plus facilement. Dès que je suis entrée en elle, j’ai ressenti un plaisir extraordinaire. Son vagin était un long fourreau chaud et étroit. Ses chairs s’écartaient sous la pression de mon sexe, puis semblaient se refermer autour ...
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