1. Carine et son mystère


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, jeunes, bizarre, hotel, fdomine, dispute, Oral pénétratio,

    ... de la chaleur de son corps. Quand elle est revenue, je me suis serré contre elle. C’était plus fort que moi, il fallait que mon corps la touche, se frotte contre le sien, je l’embrassais, je sentais son odeur. Je lui disais que j’aimais son corps, sa manière de faire l’amour. Et je me suis endormi, encore dans le plaisir. Toute cette nuit, je l’ai passée contre elle. Quand son corps s’éloignait dans le sommeil, je le suivais pour me coller à nouveau. Je me suis réveillé au milieu de la nuit. Elle était dos à moi, sur le côté. Mon sexe était contre ses fesses nues. Et je bandais. J’ai voulu lui refaire l’amour. Elle m’a repoussé gentiment, en me disant qu’elle avait sommeil. Même érection au matin. Cette fois, elle a ouvert les jambes. Et j’ai retrouvé son paradis soyeux, ses contractions autour de mon sexe qui me rendaient fou de plaisir. J’étais encore dans un demi-sommeil. Je ne savais plus où j’étais, sinon dans son vagin, là où était ma place. J’en avais oublié Bruno et sa copine, qui dormaient à côté. Je ne retenais plus mes gémissements. C’est elle qui m’a posé la main sur ma bouche quand j’ai joui, pour étouffer mon cri de plaisir. J’aurais aimé lui parler, mais elle s’est levée pour aller prendre une douche. J’étais seul sur le lit, couché sur le dos, jambes écartées, sexe au repos. Je me sentais divinement bien, gai, heureux. Le plaisir m’avait fait perdre tout repère. J’avais connu une douzaine de filles avant elle, certaines plus belles, toutes plus sensuelles, ...
    ... plus réceptives. Mais aucune ne m’avait fait jouir comme Carine. Je ne cherchais même pas à comprendre. Lors du petit-déjeuner, j’ai eu droit aux sourires égrillards d’Agnès : — Pas facile de dormir à côté de vous ! Mes débordements nocturnes avaient donc franchi les murs… Je m’en fichais. Il faisait beau dehors. Carine était en jupe. Pour la première fois, je voyais vraiment ses jambes. Ça me donnait encore envie de les remettre dans un lit, de les écarter, de plonger dans son sexe. Je ne supportais pas qu’elle s’éloigne de moi. Elle m’aimantait. Il fallait que je la touche, que je la frôle, que je m’occupe d’elle. Je lui ai servi un verre de jus d’orange, du thé, lui ai fait griller des toasts. Je ne me rendais pas compte du ridicule de la situation, avec cette fille indifférente, et moi qui lui tournais autour comme un amoureux transi. Je n’étais pourtant pas amoureux d’elle. Mais mon corps l’était du sien, totalement. Bruno m’a soumis aux questions d’usage, alors que nous passions de la wax sur les planches de surf : — À ce que j’ai entendu cette nuit, Carine, c’est une bombe… Plusieurs fois, nous avions parlé de nos conquêtes, le matin d’après. Là, je n’en avais pas envie. Je ne savais pas quoi lui dire. Je ne pouvais même pas lui expliquer ce que j’avais ressenti, ce qui s’était passé, que je lui avais fait l’amour mais que c’était son sexe qui avait pris possession du mien, que j’avais perdu tout contrôle. C’était trop intime, trop dérangeant. Deux autres couples d’amis ...
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