1. Carine et son mystère


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, jeunes, bizarre, hotel, fdomine, dispute, Oral pénétratio,

    ... de lui, pour le presser. J’avais l’impression qu’elle le libérait quand je me retirais d’elle, et le pressait à nouveau quand je revenais. C’était comme si elle m’aspirait en elle, me tenait, me caressait avec les muscles de son vagin. Je la pénétrais lentement, pour mieux sentir la progression de mon sexe. Parvenu au fond d’elle, je libérais un gémissement de plaisir, sans penser à Bruno et à Agnès, qui devaient m’entendre de l’autre côté de la cloison. Je ne pensais même pas à Carine. Rien qu’à moi, à mon sexe, au plaisir que je prenais dans son ventre. Le plaisir est monté vite. Je n’ai pas voulu le retenir. J’avais peur de briser ce moment magique. C’est elle qui m’a arrêtée quand j’étais au bord de la jouissance : la pression de ses bras sur mon torse et de ses jambes sur mes reins m’empêchaient de bouger. J’étais là, planté au fond d’elle. Son vagin se contractait autour de mon sexe, le relâchait, le serrait. J’ai rugi de plaisir quand j’ai explosé en elle, peut-être même crié, je ne sais pas. Et je suis retombé à côté d’elle, comme une masse. J’ai mis du temps à remonter à la surface. Je respirais fort. J’entendais les battements de mon cœur. Puis, j’ai été saisi d’un sentiment de reconnaissance, comme si mon corps voulait la remercier de tant de plaisir. Je me frottais contre elle, l’embrassais, la serrais, j’essayais de lui dire, avec mes mots, combien ça avait été bon pour moi. Jamais je n’avais connu cette émotion après l’amour, un tel contrecoup après le plaisir. ...
    ... Mais c’était à sens unique… Je me sentais redevable envers cette fille qui m’avait donné tant de plaisir, et n’avait pas reçu grand chose en échange. J’ai glissé le long de son corps pour lui faire un cunni, caresse à laquelle peu de femmes résistent. Je n’osais pas mettre ma langue dans son vagin rempli de mon sperme. Je me suis concentré sur son clitoris. Il est devenu dur, ses deux mains se sont posées sur mes cheveux. Une crispation de son corps, un cri de souris, ses mains qui relevaient ma tête. J’ai su ainsi qu’elle avait joui. Dèjà, mon sexe était dur, je la désirais à nouveau, je voulais m’enfoncer dans son vagin magique, dans ce fourreau de chair. Je l’ai reprise dans la même position que la première fois. Je l’espérais plus réceptive. Elle ne l’était pas, ou à peine plus. Je ne m’en suis pas soucié longtemps. Mon propre plaisir m’emportait. Je ne maîtrisais plus rien. Je ne sentais plus mon corps, rien que mon sexe prisonnier du sien. Les mots que j’aimais entendre des filles quand je leur faisais l’amour, les « encore », les « c’est bon », je les prononçais pour la première fois, spontanément, je les répétais sans cesse, je m’abandonnais aux contractions de son sexe autour du mien. Le plaisir est monté comme une vague, sans que j’essaie de le retenir pour durer plus longtemps. Mais cette fois, j’ai mis ma bouche contre son épaule pour ne pas crier. Aussitôt, elle s’est levée pour aller aux toilettes. Son absence m’était cruelle. Je me sentais seul. J’avais besoin ...
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