Carine et son mystère
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
hotel,
fdomine,
dispute,
Oral
pénétratio,
... devaient arriver en fin de matinée. La maison allait être pleine. Je ne voulais pas, le lendemain, être l’objet de leurs commentaires. J’avais envie d’intimité avec Carine, pour profiter pleinement d’elle, la découvrir, la comprendre. La pleine saison n’avait pas encore commencé. J’ai dit à Bruno que je souhaitais être seul avec Carine. Et, sur le chemin de la plage, ai trouvé une chambre d’hôtel pas chère. Carine m’a suivi sans me demander pourquoi nous déménagions. Elle m’a juste dit que c’était dommage, qu’elle trouvait mes copains sympas. Dans la voiture, je repensais à cette nuit. Elle était là, tout près de moi, jambes nues. Je bandais. J’ai pris sa main, l’ai posée sur mon sexe. Elle l’a laissée. J’étais bien. Une fois sur la plage, j’ai enfin pu examiner son corps, que j’avais paradoxalement peu vu durant la nuit. Son deux-pièces était sage, trop sage. Et elle n’a pas enlevé le haut. Mais son corps était long, souple, solide, sain, harmonieux. Et je la trouvais encore plus belle que la veille, maintenant que je connaissais son talent secret. J’étais heureux de faire du surf en pensant à elle, en la regardant de loin. Elle lisait, sans trop se mêler aux discussions des autres filles du groupe, comme la fois où je l’avais rencontrée en boîte de nuit. Quand je la rejoignais sur la plage, je réprimais l’envie de l’embrasser, de la toucher, de me frotter contre elle. Je me disais que ce genre d’effusions en public n’était pas son genre. La soirée n’en serait que ...
... meilleure… Nous avons fait du surf assez tard. Comme souvent, j’ai eu froid après avoir enlevé ma combinaison. J’ai voulu la serrer contre moi, sentir la chaleur de son corps. Elle m’a repoussée, gênée. J’étais fou de désir en la ramenant à l’hôtel. Je me suis déshabillé devant elle pour prendre une douche et enlever le sel sur ma peau. Mon sexe s’est dressé vers elle. Je l’ai attirée sur le lit. Elle m’a dit qu’on n’avait pas le temps, qu’elle avait faim. J’avais perdu toute fierté. Si elle ne voulait pas, au moins qu’elle me donne quelque chose. J’ai pris sa main, l’ai posée sur mon sexe. Et elle m’a masturbé comme ça, moi nu, elle habillée, en repoussant mes mains quand je voulais les glisser sous sa jupe, sans m’embrasser, presque mécaniquement. Quand je l’ai attirée vers moi, elle a posé sa main sur ma poitrine, restant torse droit au-dessus de moi. J’ai écarté les jambes, espérant que sa bouche descendrait sur mon sexe, ses mains sous mes testicules, un de ses doigts dans la raie des fesses. Mais elle a continué son va-et-vient régulier, de haut en bas. Je ne m’en suis même pas offusqué. J’avais trop envie d’elle. J’étais prêt à tous les abandons pourvu qu’elle me soulage. Et le plaisir qui montait en moi m’empêchait de lui demander davantage. Mon corps s’est tendu en arc de cercle quand j’ai éjaculé. J’en ai mis partout, sur mon corps, sur les draps. Elle a filé dans la salle de bains, est revenue avec une serviette, a essuyé les draps, mais pas mon corps. Elle m’a dit d’aller ...