Le miroir aux alouettes - Histoires de Sexe

Le miroir aux alouettes

... écartait sous son nez, et se penchant sur elle, glissa une main contre sa fente d’un noir de jais, avant de glisser son majeur à l’intérieur. Angela ferma les yeux, ses bras tendus derrière elle, mi-assise, mi-étendue, ses jambes bien galbées ouvertes à s’en déchirer. Maxime la branla soigneusement, jusqu’à ce que l’humidité de sa chatte soit aussi significative que le bruit de ventouse collée que faisait son doigt en train de pratiquer. Il l’embrassa sur la bouche, laissant un long jet de salive entre eux, puis se pencha entre ses cuisses. Angela ne voyait plus que ses cheveux blonds qui contrastaient avec le noir de ses poils pubiens, tandis qu’il dévorait la fleur moite de sa chatte avec appétit. La jeune femme poussa des cris à s’en fendre l’âme. Les doigts de Max, forts, pétrissaient la chair de ses cuisses écartelées en laissant des marques rouges. Quand il releva la tête, Angela allongée devant lui, il souriait : – Tu veux me prendre en bouche ? murmura-t-il d’une voix caressante. – Oui… oui… gémissait Angela, ruisselante de désir. Maxime s’agenouilla à nouveau, et elle vint ramper à ses pieds pour prendre sa queue de bonne dimension dans sa bouche. – Tiens… haletait Max en donnant des coups de reins dans la bouche d’Angela. Tiens, suce-moi… suce-moi ma cochonne… Vas-y… Bouffe ma queue… Angela, rayonnante, pompait le sexe avec une énergie méritoire, sa bouche reliée au membre de Max, dont les reins se balançaient en rythme. Cela dura un moment, puis soudain, Max lui ...

... tira les cheveux en arrière, et retourna la jeune femme. Il enduisit sa queue dressée d’une salive abondante, enfonçant son doigt dans le rectum de sa maîtresse pour la préparer, puis positionna son sexe contre la raie. Les fesses d’Angela, bronzées également, s’ouvrirent toutes seules sous la pression du gland. Il l’encula, sans se préoccuper de ses cris mêlés de douleur et de plaisir : – Tu croyais que t’allais te faire baiser, hein… ? ahanait Max en donnant des grands coups de reins dans le cul. Tu vois, je t’encule à la place !… Bientôt, les cris d’Angela se firent plus longs, plus mouillés, et elle finit par gémir de plaisir. Max continua un moment à la sodomiser, puis retira son long membre humide, et poussa Angela par terre. Mais au lieu de la prendre, il se retourna et avança sur son corps, présentant son sexe gonflé à la vue d’Angela, pendant qu’il lui léchait la motte. La langue rose de Max vint se glisser contre la fente luisante. Elle glissait, titillait, s’enfonçait, et Angela couinait. – Suce-moi ! répliqua Max sans s’arrêter. Alors Angela obéit et saisit la queue, la faisant coulisser dans sa bouche avec vigueur, léchant le gland turgescent avec une grande habileté, démontrant par là une longue expérience… Max, sentant la fin proche, arrêta le massacre et se redressa dans le bon sens. Il saisit les hanches d’Angela à deux mains, et les porta à sa rencontre, enfilant la jeune femme d’une queue longue et bien dressée. Elle cria et il la pénétra plus fort, plus ...