Le miroir aux alouettes
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
amour,
noculotte,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
init,
amourpass,
... Voici ton oncle et ta tante qui reviennent, indiqua simplement Maxime, pointant le menton derrière elle. Elle se retourna brusquement, et aperçut la voiture d’Isabelle et José qui s’était déjà engagée dans l’allée de la maison. Oh non… ils revenaient plus tôt que prévu. Après avoir supporté pendant le repas du soir une bonne demi-douzaine d’œillades, parfois complices, parfois interrogatrices, venant de sa tante, Marie fut soulagée d’aller se coucher, en rage de ce retour inopiné. Adieu la belle nuit d’amour qu’elle avait imaginée… Et pourtant son corps assoiffé de caresses quémandait des baisers et des douceurs, impatient de retrouver le plaisir qu’il avait découvert la veille au soir dans les bras de son amant… Elle se retourna dans son lit, énervée, bouillant de désir rentré, le bas-ventre en feu. Dès qu’elle fermait les yeux, elle revoyait le regard chargé de désir de Maxime, celui qu’il lui avait lancé à un moment du repas, profitant de l’inattention d’Isabelle et José… Dans ses yeux d’azur se reflétait la même envie qu’elle. Leurs regards n’étaient plus que des fragments de miroirs qui se renvoyaient à l’infini le besoin qu’ils avaient l’un de l’autre… La jeune femme appliqua sa paume contre son front moite. Elle était brûlante. Brûlante d’amour et de passion… Elle finit par s’endormir, tous ses sens mis au supplice par le souvenir de la nuit précédente, et rêva d’étreintes sauvages qui la laissèrent pantelante entre les draps… Le rêve semblait vouloir devenir réalité. ...
... Il faisait nuit noire lorsque Marie sentit l’haleine de Maxime sur son visage, avant de sentir sa douce odeur, et son corps se lover contre elle sous les draps. Une main rampa le long de sa jambe, puis caressa sa peau nue, se glissant sous l’ourlet de la chemise de nuit. Marie se réveilla tout à fait lorsque la main chaude atteignit ses cuisses, puis le nid entre ses cuisses. Le premier contact fut délicieux. Deux doigts tendres et vigoureux s’insinuèrent alors entre les lèvres sensibles de son sexe. Marie eut presque honte lorsque Max étouffa un rire rauque contre son oreille : en effet, le film qu’elle s’était passé et repassé dans sa tête lui avait fait tellement d’effet qu’elle avait transpiré abondamment dans la région du bas-ventre, et si la chemise de nuit avait en partie séché, Maxime devait trouver sa fente particulièrement brûlante et humide entre les poils drus. Elle avait dû se caresser à cet endroit même en dormant… – Max… murmura Marie, d’une voix rauque, dans le noir. Isabelle et José… – Chutt… Laisse-moi t’aimer, douce Marie, répondit-il, d’une voix presque inaudible. Les doigts visitèrent lentement le clitoris bombé, avant de le caresser avec douceur, mais en appuyant de plus en plus fort. Marie retenait son souffle, sentant sa poitrine, tout son corps, durcir de désir. À côté d’elle, Maxime semblait à bout de nerfs, il bougeait sans cesse pour se rapprocher d’elle, coller son corps au sien. Bientôt, elle comprit qu’il était déjà nu. Son sexe poussait, dur, ...