Un anniversaire particulier
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fhhh,
profélève,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
cérébral,
ecriv_c,
... je lisais la déception sur leur visage. La soirée reprit, lourde de gêne, ennuyeuse. Le silence s’était installé entre nous, brisé de temps à autre par le bruit des verres qui se remplissaient de temps à autre. Mon anniversaire était gâché ! Je me mis à pleurer doucement sans bruit, petite fille perdue au milieu d’hommes indifférents avant de m’enfuir dans ma chambre. Stéphane s’était aperçu de ma détresse et m’avait suivi peu de temps après.. Arrivée dans ma chambre où il me trouva le visage enfoui dans la couverture de mon lit; il m’entoura de ses bras, protecteur : — Il faut leur pardonner; tu es trop belle et désirable !— Comprend-les ! Une belle femme comme toi, c’est rare. Il usait de toute sa patience pour me consoler sans oublier bien sûr de profiter de l’occasion pour me caresser les cheveux, le dos, les jambes ou les hanches. . Les phrases, sans suite qu’il me murmurait à l’oreille sur un rythme ininterrompu me berçaient et m’apaisaient peu à peu Quand il me sentit consolée, il me retourna, me prit par le menton pour m’obliger à le regarder et me demander d’un air contrit : — Reviens danser, c’est ton anniversaire, On ne va pas le gâcher. Le sourire malicieux qui, à ces mots, éclaira son visage me fit fondre. Se penchant sur moi, il m’embrassa à nouveau et comme la première fois, je répondis à son baiser pendant que sa main s’insérait sous ma robe pour redessiner la courbe de mes hanches et de mes cuisses. — Ça va mieux maintenant ?— Oui, je suis désolée. J’ai été ...
... surprise.— Hé oui, on ne peut pas vouloir allumer les mecs et espérer qu’ils restent de marbre.— Mais, je ne voulais pas vous allumer !— Menteuse ! Comme toutes les jolies femmes. Psychologue le Stéphane ! — Je voulais simplement vous plaire pour mon anniversaire ! avouais-je à moitié, un peu honteuse.— Tu as réussi ! Je m’aperçus que, pendant qu’il jouait au psy, sa main, elle, jouait au docteur. Audacieuse, elle avait quitté mes hanches pour s’insérer entre mes cuisses et les caresser tout en respectant, pour l’instant, mon intimité. La sensation éveillée par ses premières approches s’amplifiait pour se transformer en une douce excitation. — En fait, tu en as rêvé, mais tu n’oses pas assumer. Oh le petit futé, il me met au défi. — Tu prends tes rêves pour des réalités !— Tu es sûre ? Depuis tout à l’heure tu me laisses faire… Tu sembles même apprécier.— J’aime qu’on me caresse, j’en profite ! Et puis ce que tu me fais n’a rien de méchant.— Ah oui ? Sa main s’était faite plus téméraire et s’était posée sur mon sexe. — Bon allez, on rejoint les autres. J’avais resserré mes jambes afin qu’il ne sente pas combien je mouillais et je m’étais levé prestement pour rejoindre le salon. Didier et Jean Michel s’apprêtaient à partir. Je les retins en les prenant à la taille pour danser les notes qu’égrenait la chaîne stéréo. — Restez, c’est passé. La soirée reprit. L’ambiance, se dégela peu à peu. Il faut dire que le champagne et le whisky soda y contribuaient pour une bonne part. Ils ...