Un anniversaire particulier
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fhhh,
profélève,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
cérébral,
ecriv_c,
... s’étaient promis de boire toutes les bouteilles qu’ils avaient amenées. Les slows avaient également repris. Ne sachant pas danser -c’est vrai qu’ils n’étaient pas doués.- ils préféraient cette danse, disaient-ils. Ce fut Stéphane qui, une fois de plus, prît l’initiative. Il glissa une main sous ma robe, dévoilant à demi mes fesses nues pour caresser ma chute de reins. — On va voir si tu n’as pas froid aux yeux… ! Oh le salaud il me remet au défi. — Cela ne me gêne pas, je n’ai pas honte de mon corps. Les deux autres, regardait le spectacle de ma demi-nuditéé sans oser bouger. J’étais ni vraiment excitée, ni gênée. Plutôt soumise, absente, résignée à une situation qui me dépassait. . Je n’avais plus qu’une alternative : me retrancher derrière ma pudeur en risquant de gâcher là nouveau la soirée et de passer pour une allumeuse, pire une oie blanche ou prendre l’initiative et me montrer maîtresse de mes choix. C’est la deuxième solution que je choisis. Me détachant de mon danseur, je me plaçais devant la glace et fis glisser les bretelles de mes épaules. La robe coula le long de mon corps pour venir s’enrouler sur mes chevilles : J’étais nue devant eux, les mains sur les hanches en signe de provocation, et ils pouvaient contempler à la fois mes seins tendus maintenant par l’excitation, mon ventre soigneusement épilé et ma chute de rein reflétée par le miroir. J’attendais avec angoisse et une certaine impatience, je l’avoue, les conséquences de mon strip-tease. Rendus timides ...
... par ma nudité, échaudés par ma première réaction, impressionnés par mon aplomb, je ne sais, ils restèrent immobiles. Chaque seconde qui passait me paraissait une éternité. Je ne pouvais demeurer ainsi plantée au milieu du salon avec pour seul vêtement des dim-up. Je me tournais vers Stéphane avec un regard hautain et provocateur. — Alors, Monsieur, on ne dit plus rien ?— La parole n’est plus utile, l’heure est aux actes, répondit-il, le regard admiratif. Il s’approcha, me porta dans ses bras et me posa délicatement sur le sol. — Didier, Jean Michel, ôtez-lui ses bas ! dit-il avant de m’embrasser. Dès que Stéphane me libéra les lèvres, je lançais : — Je suis nue et vous habillé, ce n’est pas du jeu. Ils s’apprêtaient à se dévêtir quand je les arrêtais : — Non c’est moi qui vais le faire. Je voulais rester maîtresse du jeu et non simple jouet de leurs désirs. Je me mis à genoux et commençais à desserrer les ceintures, déboutonner les braguettes, libérant à chaque fois un sexe différent que je caressais. Celui de Stéphane était petit et fin. Grande gueule mais petit zizi. J’ai du le caresser longtemps avant qu’il ne durcisse de façon satisfaisante. Celui de Jean Michel, court et épais bandait déjà et montrait un gland agressif au bout duquel perlaient quelques gouttes de sperme. Celui de Didier était impressionnant, énorme. Comment pouvait-il pénétrer une fille sans la déchirer ? Mon pouce et mon index n’arrivaient pas encercler son sexe ! Le pauvre, ne connaîtrait sans doute ...