1. Le maquis des sentiments


    Datte: 06/08/2021, Catégories: fh, couplus, vacances, plage, bateau, vengeance, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, exercice,

    ... Pourtant, je ne réagis pas. Une fierté mal placée ! Le refus de paraître ridicule et de protester alors qu’il y a quelques minutes, moi je me faisais sucer. De toute façon, le temps de nous asseoir et de réfléchir, Claire est à genoux devant l’homme. Ils sont de profil et c’est certainement voulu. Voulu afin que je sois aux premières loges. Que je puisse la voir, ma douce Claire, agenouillée comme une « pute » une « salope » devant un mâle. Arrête. Tu te fais du mal. Tu n’as pas le droit de la traiter ainsi. Personne ne t’oblige à rester! Tu peux aller dans ta chambre et laisser faire ! Attendre qu’elle se venge et te revienne ! Voilà mes pensées alors qu’elle le prend en bouche. La verge sage, mais imposante, que j’ai remarquée pas plus tard que cet après-midi sur la plage, répond aux caresses de la femelle. En quelques secondes elle se déploie et ma copine se retrouve devant une tige qui doit l’effrayer. Je vois bien qu’elle est fébrile. Toute entière à sa vengeance elle n’avait pas pensé plus loin. Mais devant elle, la bite est bien là et si ce n’est pas un monstre, elle la place devant le fait accompli. Elle ne peut plus reculer. Je vois bien qu’elle se ressaisit et caresse au mieux la queue de Matéo. Matéo doit comprendre que Claire hésite. D’ailleurs il l’aide à se relever. Va-t-il la délier de la promesse que ce début de caresses impliquait et me rendre ma douce amie ? Je suis déjà puni ! Mais non, tel un fétu de paille il soulève Claire, fait quelques pas et la pose ...
    ... sur le canapé qui nous fait face. Il l’abandonne, allongée, attentive, frémissante. Lorsque les mains se saisissent de la petite culotte, elle ne fait même pas mine de refuser. Pire elle soulève les reins pour l’aider. Je comprends que ce petit bout de tissu va marquer ma défaite. L’homme plonge entre les cuisses qu’il écarte afin que son visage découvre la chaleur d’une féminité délicate, celle d’une femme dont aucune maternité n’a troublé la fraîcheur. Claire me regarde. Ce n’est déjà plus un regard de provocation. Elle n’a fait que montrer le chemin, signifier son accord. Maintenant c’est à l’homme de s’en saisir. — Tu vas voir. Mon mari est un amant parfait. Est-ce que cela me console ? Dois-je me sentir rassuré ? Déjà les yeux de Claire se troublent. Sa tête part en arrière. Est-ce une impression, mais il me semble voir qu’elle s’ouvre encore plus aux caresses que ses pieds reposent maintenant sur les épaules du plongeur en eau profonde. Que fait-il de sa bouche ? Que fait-il de ses lèvres ? Et sa langue ? Et ses mains qui s’activent entre les cuisses ? Claire ondule, se tortille, gémit. Elle n’est plus avec nous. Plus exactement elle ne reconnaît que cet homme qui lui donne du plaisir. Qui la fouille. Qui doit pousser une langue au plus profond. Aspirer son clitoris, petit bouton de chair si petit qu’il faut le chercher longuement et encore après avoir excité sa propriétaire. Pas de toute, il l’a trouvé. C’est étrange de voir ce corps si puissant, ce crâne lisse coincé ...
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