Le maquis des sentiments
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
bateau,
vengeance,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
exercice,
... entre deux petites mains qui le guide vers le lieu secret, la source du plaisir. — Oui… Oui… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ce cri me fait du mal, mais pas autant que je le craignais. Claire jouit. Une jouissance affichée aux yeux de tous, répandue comme une excuse, un pardon. — Tu vois. Et ce n’est que le début. C’est un couteau en plein cœur que m’assène ma voisine. Aura, femme libertine qui regarde, comme moi, son mari donner du plaisir à mon amie. Je comprends qu’elle est la meilleure groupie de son mari. Lui se relève. Sa queue est imposante. Déployée, à la fois longue, grosse, mais raide. Il se place entre les cuisses de sa maîtresse et d’un coup de rein l’enfile. Il est sur elle. Il est en elle. Il la couvre. Claire a disparu sous le mâle qui la possède. Même son visage est caché derrière ce crâne lisse qui brille de sueur. Il ne reste que ses cuisses, écartelées par les hanches masculines, des cuisses pourtant vivantes qui se sont ouvertes, hésitent pour venir envelopper la taille de l’homme. Et puis elle réapparaît, Matéo se soulevant sur ses bras. Déjà l’homme la travaille juste par des coups de reins, des ondulations qui doivent pousser sa bite au plus profond, écartant les chairs vierges de ces endroits qu’aucune bite n’a encore connue. Elle doit être pleine de ce membre viril. Elle le regarde. Leur visage n’est qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Elle lui caresse la poitrine avec une étrange douceur. Elle découvre la délicatesse de cette toison qui ...
... renforce sa virilité. — Regarde, il va la faire jouir. Ma voisine m’énerve un peu d’insister sur la puissance de son mari. Merde, c’est ma copine qu’il est en train de baiser ! — Ça t’excite aussi, hein ? continue-t-elle. Je n’avais pas vraiment remarqué qu’elle avait glissé sa main sous mon short ou mon sexe est libre, n’ayant pas remis mon slip après notre baignade. Je bande. Impossible de cacher cette érection mal contrôlée. Et je ne peux même pas me retrancher derrière la caresse de la main, car aussitôt elle se saisit d’une hampe de drapeau, étendard de ma honte, preuve de la faiblesse des hommes, alors que je bande de voir Claire, ma douce Claire, maîtresse à peine épanouie, se faire bourrer par un autre. Oui, bourrer, tringler, ramoner, limer. Combien d’expressions pour décrire ce que fait Matéo. Un Matéo qui ne se retient plus. Sa bite luisante sort à peine, le temps d’une seconde, avant de replonger. Juste le temps pour moi de la voir. Juste le temps pour Claire de la regretter. Eh oui, je ne peux me cacher la vérité, car Claire aime ce qu’il lui fait. La pièce résonne de ce clapotis qui n’est pas celui des vagues contre la coque. De ce claquement caractéristique des chairs qui se heurtent ! Mais une ombre me cache la scène. C’est Aura qui s’est levée et qui me fait face. Sans hésiter, elle retire sa robe, se penche pour attraper mon short et le tirer sans ménagement. Elle s’agenouille. Elle va me sucer. Oui, me sucer et éteindre mon incendie. Mais non, ce n’est pas ...