1. Résonance primitive - 3


    Datte: 07/08/2021, Catégories: ffh, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init, confession, humour,

    ... entrejambe encore emballé et perçois l’odeur de son sexe mêlé à celle, artificielle, du textile. Puis, enivré, je déballe doucement, et découvre sa chatte, qui n’a jamais connu l’épilation. L’épilation, c’est l’erreur fatale de la femme. Ça, et la volonté d’être légale de l’homme. Quelle idée de vouloir se rabaisser ? Alors que je m’apprête à lui ôter complètement sa culotte, elle m’arrête et replie ses jambes en écartant ses cuisses. — Laisse-la à mes chevilles, ça m’excite. Elle me laisse faire ensuite, en passant ses bras au-dessus de sa tête. Je ne le vois pas encore, mais je sais qu’elle est déjà mouillée, et lorsqu’elle sent le contact de mes doigts écartant délicatement ses lèvres, elle bascule sa tête en arrière, les yeux clos, dans l’attente de mon souffle, de ma bouche, et de ma langue. Elle soupire au contact. — Huuumm ! Tu me rappelles ma cousine… Il s’appelait Roger, reprend-elle. Tout le monde l’appelait Dudule sans que l’on sache pourquoi. Tout le monde le prenait pour un simplet, alors qu’il ne l’était pas. C’était pas une lumière non plus, mais il était gentil. Peut-être un peu trop. Il n’était pas beau non plus, vraiment pas beau. Un gros nez, le front bas, les oreilles décollées.— Il était pas roux, non plus ? Putain, un vrai cliché !— Parle pas la bouche pleine. D’une main, elle appuie doucement sur ma tête pour me remettre à l’ouvrage. — Les souvenirs sont des clichés… Non ! Pas les doigts… J’en étais où ? En plus d’un physique ingrat, il se traînait ...
    ... des rumeurs sur ses mœurs, comme on traîne un chapelet de casseroles. La plus délirante, était qu’il se tapait des vaches. Tu te rends compte ? Non ! Tais-toi et lèche… plus bas. Nous nous sommes mis à le suivre discrètement, pour connaître ses habitudes, et peut-être le surprendre. Nous avions l’idée qu’il serait le candidat idéal pour nous montrer ce que nous voulions voir. Il n’avait pas d’amis à qui se vanter et, de toute manière, qui le croirait s’il en parlait. Un jour, nous l’avons suivi jusqu’à son potager en dehors du village. C’était l’été, et la chaleur était sans brise. Il était torse nu et butait des rangées de patates à n’en plus finir. De temps en temps, il allait se tremper la tête et le corps, au tonneau en fer, posé à côté de la cabane de jardin faite de bois et de tôle ondulée. Un vrai four. Nous l’observions de loin, depuis un tas de bois qui longeait le jardin, sous le soleil, sans bouger, ruisselant. Comme ma chatte maintenant. C’est Marie qui nous fit repérer en déplaçant un morceau de bois.— Qu’est-ce que vous me voulez ? nous lança-t-il méfiant, limite parano.— On a soif, tu peux nous donner à boire ? lança Marie. Il nous regardait avec un air un peu idiot, s’attendant sans doute à une mauvaise plaisanterie. Puis, après une demi-minute, il nous fit signe de le rejoindre et se dirigea vers la cabane. Il sortit une bouteille d’eau qu’il gardait au frais dans le tonneau, et nous la tendit. — J’en ai deux autres, allez-y, n’ayez pas peur. Marie, qui s’y ...
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