Résonance primitive - 3
Datte: 07/08/2021,
Catégories:
ffh,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
confession,
humour,
... son regard, je vois qu’elle se souvient. « Raconte ! », lui dis-je en murmurant et en me rapprochant d’elle. — Je me souviens de la bite à Dudule, commence-t-elle.— La bite à Dudule ? Putain c’est énorme ! J’avais l’incrédulité joyeuse, limite moqueuse, à l’énoncé de ce titre qui ressemblait plus à une vieille blague, qu’à un vieux souvenir. — Tu crois pas si bien dire, il l’avait vraiment énorme. Enfin, pour la main d’une gamine.— Seulement la main ?— Un peu la bouche aussi.— Et ta cousine ? Quel rapport ? J’ai le flair pour les histoires croustillantes, et celle-ci sentait bon la ruralité. — Ma cousine ? Ma cousine Marie. « Marie salope » ne lui était pas usurpé, tu peux me croire. Fille d’agriculteur. Dernière d’une fratrie de 6, dont elle est la seule fille. T’imagines l’univers ? Je passais souvent mes vacances chez eux, enfin, si on peut appeler ça des vacances, dans la mesure où je participais aux tâches de la ferme au même titre que Marie. Mais, je ne regrette pas. J’aimais bien la ferme, son espace, ses odeurs et tous ces endroits où nous pouvions nous soustraire du regard des adultes. Les granges, les tas de paille, les balles rectangulaires, que même nous, nous pouvions porter. Autre chose que les balles rondes d’aujourd’hui qui peuvent nous écraser. Elles ont sans doute détruit l’attrait de la campagne pour les enfants. Les balles rectangulaires, c’étaient comme des Lego géants avec lesquels on pouvait construire des cabanes et des tunnels. Se cacher. Mon ...
... oncle gueulait souvent. Enfin bref. C’est avec ma cousine que j’ai découvert le sexe, mais ça, tu t’en doutes. Tu me montres la tienne et je te montre la mienne. Premières caresses, puis premières masturbations, chacune de son côté, puis mutuelle. Premières léchouilles aussi, et premières jouissances. Marie aimait beaucoup explorer mon corps, et j’aimais ça. Nous avions fait le tour de notre sexe, mais celui des garçons nous restait encore inaccessible. — Donc, Dudule ?— Patience ! Un de ses frangins, qui faisait son service militaire, planquait des revues pornos sous le plancher de sa chambre. Des play-boys surtout, mais aussi des ouvrages beaucoup plus explicites, avec des gros plans, des pénétrations, et puis le sperme. Autant dire que les premières fois, on n’a pas tout compris. Mais au fil du temps… Nous visitions souvent le plancher de son frangin, avides de nouveauté. Mais la source a fini par se tarir et nous en voulions plus. Nous voulions voir de nos propres yeux, toucher de nos propres mains.— Goûter de vos propres bouches…— Si tu m’interromps pour la vanne, j’arrête… Bien. Tiens, dit-elle en remontant le bas de sa robe et en s’allongeant sur le dos. Lèche-moi, mais doucement, comme une caresse, ça t’évitera de dire des conneries. La punition me convient. J’obtempère docilement, et m’installe confortablement entre ses cuisses agrémentées d’une paire de bas noirs et du porte-jarretelles qui va avec. La culotte est en dentelle, transparente, délicieuse. Je respire son ...