1. Vengeance d une blonde


    Datte: 07/08/2021, Catégories: Mature,

    ... qu’il n’avait été caressé de la sorte. Je priscela comme une douce revanche, un du. Je ne sais mais la seconde fois jedévorais sa bouche. Nos langues se mêlèrent. Il avait bu du vin. Jen’étais guère en reste avec mon Whisky. Il eût des façons alors derustre. Je n’eus pas le temps de comprendre que sa braguette ouverte. Jele suçais. J’imaginais qu’en dépêchant cela rapidement il allait meramener plus vite à ma maison. Sa main pressait ma nuque m’obligeant àparfaire l’ouvrage. Je trouvais étrangement plaisir à cela. J’avaisgrandi peut-être depuis ce temps. Moi qui répugnait aux premières heuresdu mariage à ce genre de chose. A présent je me découvrais du talent. Jesuçais avec reconnaissance la queue d’un homme. Celui-ci se croyantencouragé m’emmena plus loin sous les arbres. Je tentais une résistancemais cet homme était fort tel un géant. Il m’arracha la culotte lajetant riant par-dessus la haie. Plaquée contre le flanc du véhiculejupe relevée je fus besognée au travers de mes deux fesses. L'exerciceme ranima. Je revenais peu à peu à la lumière. Je trouvais impolid’interrompre le plaisir d’un homme qui somme toute avait voulu merendre service. Cela dura un quart d’heure. Le porc prenait ses aises.Au milieu de jurons et de mots insanes, il me fit part qu’il en avaitsouvent rêvé. Ce noble aveu me toucha. N’étais-je pas utile voirenécessaire à un être sur cette terre ? Il éjacula enfin. Son spermecoula le long des cuisses. Tout au long du chemin je dus encore essuyerses caresses ...
    ... et lui donner ma bouche. Au coin de la rue il eut l’audacede m’obliger à une ultime fellation. J’avais peur qu’un des voisinsdéboucha et me surprit dans cette position délicate. Je voulus retirerma tête et le salaud m’obligea à recueillir le jet tiède et salé dans labouche. C’était dégueulasse. Même mon mari n’avait pris pareilleliberté. Je voulus le gifler enfin revenue à moi. Il éclata de rire. Ilme dit calmement que nous ne pouvions que nous revoir à présent. Monmari était un salaud et j’avais droit à m’amuser. Décontenancée je ne sudire non et nous échangeâmes les numéros. Cette nuit je ne conçus nullehonte à mon acte. Au contraire j’en repassais chaque détail. J’étaisimpressionnée du chemin parcouru. Le Whisky avait agi sur moi telle unedrogue ou un philtre. N’avais-je pas basculé dans une nouvelle vie, uneautre dimension ? Je comprenais enfin que je ne devais rien à mon mari,à ma fille ni aux autres. Je ne devais songer qu’à moi, à mon propredésir. Pourquoi ne prendrais-je cet imbécile pour amant ? Aussitôt ditaussitôt fait. Le surlendemain nous retournâmes dans la prairie. Nantiede couvertures nous fîmes l’amour durant une heure. Le temps étaitpropice car il faisait frais. Je n’avais plus l’excuse du Whisky. Il putapprécier tous le chemin parcouru en deux jours. J’avais pris goût à lachose qui quelque temps encore me dégoûtait. Je comprenais qu’une grandepart de l’humanité sacrifiât à cet espèce de dieu ou de démon qu'est lesexe. Julot fut ainsi mon premier amant. Bien ...