1. La robe chamarrée


    Datte: 07/08/2021, Catégories: f, fff, fplusag, jeunes, cadeau, vacances, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init,

    ... Je suis… disons « régulière », mais c’était préférable de vérifier. Non… ça ne viendrait pas avant demain. La chambre ? Des murs bruts avec un crépi à la chaux. Le couvre-lit en patchwork, une poupée probablement ancienne sur une petite chaise et des branches de bougainvillier fraîchement coupées sur le chevet. Il flottait une odeur rare, mélange d’antimites et de papier d’Arménie. Nous étions assises sur le bord du lit, je reprends sa main. Elle dessine des ronds sur ma cuisse. Margrit nous regarde, un peu crispée. Impatiente aussi. Nous fait signe de nous rapprocher et lui suggère de poser le pied sur le rebord en bois des îles. — T’as deviné… pour mon autre préférence ? On marque un « ben-non » qui agite les paupières. Un non resté coincé entre les dents, parce qu’on voulait se la jouer Sainte-Nitouche. En face, Margrit reprend — Pas loin de la première. Juste plus… individuelle. Tu vois ce que je veux dire ? Chez moi, c’était fou rire étouffé. J’en étais presque à savourer ma petite revanche. Oh, sans prétention. Je la voyais venir, la Margrit, avec ses grands pieds. Je sentais les fourmis monter. De la pointe des pieds jusqu’à la racine des cheveux, en passant par quelques détours. Des images s’incrustent… C’est plus tordu qu’on croit, la transmission de pensées. Langage des signes et clin d’œil dans ma direction : — Un coup de pouce peut-être ? La pointe des doudounes, c’est toujours réceptif, non ? Un baiser dans le cou aussi, quand il se prolonge. Et quid de l’autre ...
    ... main le long de la cuisse ? Celle qu’elle tient relevée, le pied sur le rebord du lit. Nouvelle intervention de Margrit. Tranchante et sans compromis. — Allez… Touche-toi, Stéphanie, je veux te voir te… Ça fait tout drôle, quand ce genre d’invite vient de quelqu’un d’autre. Je m’étais mise à genoux sur le lit, juste derrière elle. À palper un sein. À en étirer le bout même… lorsque je l’ai vue glisser sa main entre les jambes et la presser contre son sexe. Du coup, les miennes se damasquinent sur les mamelons… Non, pas vraiment figées, c’est vrai. Elle lève la tête et me regarde. À la recherche d’un consensus ? C’est ce que j’en déduis. C’est vrai qu’on se laisse vite emporter par les mimiques dans ces moments. Comme dans un film muet, le côté superficiel en moins. On en sort avec le sourire vertical encore plus imbibé ! Margrit laisse traîner un « I love to treat women » façon cougar. Apparemment elle la tenait, son issue fatale. Un regard vers moi, aller-retour. Elle s’approche de Stéphanie, la bouche en cul de poule. — Viens ma biche, laisse-toi aller… Elle se penche, tend le bras, lui lisse les cheveux et reprend, toute pateline : — Tu aimes qu’on te maltraite les nénés en même temps, n’est-ce pas ? Allez… caresse-toi. Tu en meurs d’envie, je le sens.— Si vous êtes devant moi… ça me gêne, diffère la môme en se mordant les lèvres.— Oh, mais si ça ne tient qu’à ça ! Je suppose qu’il te faut des mots évocateurs, aussi ? Je ne les répèterai pas. Pour Margrit, c’était enfoncer ...