Le coup de la panne
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
ff,
fplusag,
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jouet,
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fantastiq,
... sur son sexe qui effleurait doucement les grandes lèvres, sans urgence de les ouvrir, sans nécessité d’écraser un clitoris qui commençait son ascension vers le bonheur, était une expérience inhabituelle.Cette main, comment s’est-elle insinuée si discrètement dans ma culotte ? pensa Isabelle.Je croyais être déjà nue tant ses caresses m’envahissent, mais tous mes vêtements sont encore, plus ou moins, en place. Isabelle ne savait pas rendre la pareille et la femme ôta elle-même sa robe avec indulgence en continuant de baigner Isabelle dans son regard. La pièce qui abritait leurs ébats semblait pour Isabelle de plus en plus inondée d’un suave mélange de couleurs vives, sans qu’elle puisse encore identifier l’origine de cette impression. En laissant la femme la dévêtir, Isabelle promenait ses doigts sur ses chairs veloutées et blanches. Parfois ses caresses, dans la moiteur d’un repli plus intime, faisaient s’envoler une volute aphrodisiaque d’une fragrance alliciante. Isabelle se retrouva entièrement nue, sans même en prendre conscience, et lorsqu’elle entrouvrit les yeux elle aperçut le corps exubérant d’une sirène voluptueuse, deux mamelles triomphantes aux tétons dressés fièrement et une abondante et foisonnante toison exhalant des parfums épicés qui lui tournaient les sens. Elle donna frénétiquement de la langue autour d’elle et ses mains, de droite, de gauche, en bas, en haut, investissaient les courbes, les vallées, les méplats, elle s’agitait, léchait, embrassait, ...
... mordait, elle était ivre de désir. Chaque doigt qui pénétrait sa vulve ou son cul décuplait ce désir autant qu’il ajoutait à son plaisir. Chaque longue caresse de la langue de la femme sur son clitoris emportait son corps dans un tremblement de plaisir qui en retour portait son désir à son paroxysme. N’y tenant plus d’excitation, elle se souleva et se rua sur ce corps, bouche et mains en avant, prête à mordre à lécher, à plonger doigts et langue dans toutes les profondeurs intimes. La femme offrit son corps avec une complaisance gourmande. Elle ouvrit largement cuisses et cul à l’affamée. Elle la laissa se repaître d’elle, de ses nectars, de ses parfums. Elle garda discrets ses orgasmes pour ne pas sembler sonner un signal de fin. Isabelle, déchaînée, arpentait ce corps comme un fauve sa proie, donnant un coup de dent ici, un coup de patte là, envoûtée par le souffle rapide et les gémissements brefs de la femme offerte. Avant cette nuit, les aventures érotiques d’Isabelle avaient toujours été des combats à armes égales où chacun cherche son propre plaisir. Pour la première fois, elle avait entre les mains, ou était-elle entre ses mains ? une femme qui n’avait de cesse que de chercher à exciter et à satisfaire le plaisir de l’autre. Il faudra ensuite du temps à Isabelle pour bien comprendre le plaisir que l’on peut prendre au plaisir de l’autre, mais ce sont d’autres histoires. Isabelle se sentait repue, harassée. Elle avait été soulevée par trois orgasmes, s’était délectée du corps ...