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Un peu pute à l o ccasion
Datte: 13/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... qu'il voyait impunément ma chatte et mes nichons. Je perçus dans tout cela qu'il voulait me voir et m'entretenir de quelque chose d'important. J'eus cependant le geste ridicule de me vouloir couvrir les seins et de lui balancer : « Attendez cinq minutes puis venez me voir. » Aussitôt m'enfuis-je pour enfiler un paréo juché peu loin sur un transat. Ainsi me vit-il juchée sur mes mules à talons hauts. J'étais colère. Je me représentais que depuis longtemps ce cochon devait me reluquer et peut-être se branler sur mon cul hâlé.J'avais peu d'illusions sur la moralité du gredin. Il était notoire qu'il avait le regard souvent torve et lubrique. Il était de son état gendarme à la retraite. Il avait beau joué des muscles, il était maintenant affublé d'un gros ventre ridicule. Il s'était marié à une très jeune femme qu'il faisait jouir ostensiblement et qu'on entendait l'été, fenêtres ouvertes. Mon mari en était passablement offusqué. De même que moi qui détestait ladite pécore. J'eus le temps de me représenter que mon homme goûterait peu une conversation avec ce voisin honni. Aussi décidais-je sur le coup de lui déplaire.J'avais entre temps repris mes esprits. J'étais résolu à recevoir le vicieux avec un air d'insolence. Que pouvait avoir d'important à dire un imbécile ? Je le reçus à la table du jardin sous le parasol. Je tirais nerveusement sur ma cigarette. J'étais malheureuse d'avoir renoué avec la clope. Ne dit-on pas que le chômeur picole et fume davantage que le reste de la ...
... population ? A ma grande surprise le voisin voulait m’entretenir justement de mon chômage. Un autre des voisins lui avait rapporté ma récente infortune. Tout bonnement il pensait avoir la solution pour mon genre de problème.Je protestais que mes proches et ma famille s'investissaient déjà largement à ce sujet. Il n'en citât pas moins le nom d'une boîte américaine. Cela fit tilt. En effet souvent passais-je devant les magnifiques bâtiments de celle-ci. Ceux du coin qui y bossaient s'en glorifiaient. Je ne fus pas peu étonné de savoir que le neveu de mon imbécile y était DRH. Je vis que sa proposition était sérieuse. Il me glissât dans la main la carte dudit neveu. Baissant le ton, il dit de n'en pas parler à sa gueuse. De même l'assurant de mon entière discrétion je lui en demandais autant pour mon mari.Ce secret du coup nous liait. Nous étions semblables à des conspirateurs. Nous éclatâmes de rire ensemble. Nous en étions au enième Ricard. Il matait à présent impunément mes cuisses. Il était déraisonnable de poursuivre plus longtemps cette conversation. Je songeais avec tristesse qu'il était exclu désormais que je bronzas à poil dans le même lieu. J'eus presqu'envie de dire qu'il gâchait ma fête. Que mes fesses ne seraient davantage bronzées cette année. Me devinât-il ? Il dit en effet avec muflerie : « Vous savez ne vous gênez pour moi. Bronzer nue, ma femme en fait autant. »Outre que j'étais offusquée qu'il me comparât à sa connasse, il ne voyait pas d'objection à ce que je ...