1. Gavage dans le garage (1)


    Datte: 14/08/2021, Catégories: Trash,

    ... bouche à elle n’était qu’un moyen de satisfaire ses propres pulsions sexuelles à lui. Il n’était venu jusque chez elle que pour ça. Et rien que ça. Elle avait l’impression d’être considérée comme un simple objet sexuel ; un objet de valeur certes, puisqu’il avait mérité les transgressions sociales et les prises de risques les plus inimaginables et variées, mais une chose tout de même. Elle se faisait l’effet de la dernière des salopes volage et coupable d’adultère, capable de pomper une belle bitte à genoux avec un collier de chien et tenue en laisse à quelques mètres de son mari endormi. Elle n’était plus une mère de famille quadragénaire exemplaire et responsable. Elle n’était plus ni une épouse parfaite, ni une cadre supérieure du service des douanes respectables et respectée. Et à cet instant précis elle n’avait cure de la tournure dramatique que pourraient prendre les évènements si elle était découverte. Pour le moment elle n’était plus que ça. Et putain, cela lui plaisait. Et elle savait que cela se voyait ; elle se savait observée pendant qu’elle se roulait dans la fange. Elle aimait ça ; cela lui faisait un effet que le peu de drogues douces qu’elle avait consommées dans sa vie n’aurait jamais pu égaler. M. Jacques souriait, enfin. Alors sans cesser de la regarder, il avait avancé sa jambe droite entre ses cuisses, et l’avait forcée à les écarter. Plaquant son tibia contre son bas-ventre il avait fait pivoter son pied de gauche à droite en plantant son talon au sol. ...
    ... Son visage s’était alors éclairé et il avait esquissé un rictus sardonique en sentant sa culotte détrempée et incandescente, et son clitoris tuméfié. -Décidément, avait-il marmonné, ça ne s’arrange pas avec les années… fnwfzzbc Candys avait refermé la bouche puis avait elle aussi eu un petit sourire gêné en coin dès l’instant où il avait commencé à frotter sa jambe sur son pubis. Elle avait un peu honte d’être aussi salope mais c’était tellement agréable, qu’au moment même où il l’avait touchée, elle en avait eu la chair de poule ; alors quand il s’était arrêté en faisant un pas en arrière, frustrée, elle avait agrippé sa cuisse à deux mains et avancé son bassin vers sa jambe. Et comme une chienne se frottant sur la jambe de son maître, elle avait commencé à le chevaucher. Elle roulait des hanches en faisant des huit avec son bas-ventre, comme si elle était en transe. Elle creusait les reins en essayant d’en tirer le maximum de plaisir, toute à ce qu’elle faisait. Mais elle n’en pouvait plus. Cela ne lui suffisait plus. Ce n’était pas assez ; la position n’était pas aisée et elle en voulait plus. Alors elle avait prestement écarté son string sur côté, histoire de pouvoir faire du peau à peau et de mieux profiter des sensations qu’elle se procurait. Il n’y avait plus qu’elle et son clitoris qu’elle essuyait sur sa jambe, bien décidée à approcher cet orgasme qu’elle attendait depuis son arrivée. Mais M. Jacques ne semblait pas l’entendre de cette oreille. Il l’avait forcée à ...
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