1. Des retrouvailles pleines d' émotion...


    Datte: 15/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, amour, noculotte, Oral nostalgie, coupfoudr, amourpass,

    ... nous étions en phase. L’arrivée de la bouteille de champagne interrompit notre tendre moment. J’invitais Élisabeth à porter un toast à nos retrouvailles. Nos regards émus se croisèrent et je vis une larme poindre dans ses yeux. — Tu ne peux savoir combien je suis heureux de te retrouver et de me rappeler tous les moments fous que nous avons passés ensemble.— Moi aussi, et si tu savais combien de fois j’ai pensé à toi, à ces moments fous, comme tu les appelles, que nous avons passés tous les deux et que je n’ai plus revécus. Ses yeux s’embuaient de plus en plus et je pris ma pochette en soie couleur bordeaux pour lui essuyer les yeux. — La même qu’au premier soir, non ? répliqua-t-elle dans un éclat de rire mêlé de larmes— Ah oui, la même, je te promets que je ne l’ai pas fait exprès.— Vraiment ? Tu ne mens pas ? Tu te rappelles ce que j’en avais fait ? Soudain, je me rappelai, en effet. — Hé bien, il ne te reste plus qu’à faire de même cette fois. Chiche ?— Chiche, répliqua-t-elle en me faisant un énorme baiser parfumé au champagne sur les lèvres. Élisabeth se leva, me prit la pochette et se rendit aux toilettes. De retour, discrètement, elle remplaça ma pochette par sa petite culotte ! À mon tour, en guise de remerciement, je la gratifiais d’un profond baiser langoureux. Nos langues se croisèrent, se mêlèrent, s’entrelacèrent. Nous avions complètement oublié le blues louisianais. Je feignis une larme pour sortir ma nouvelle pochette. Une petite culotte de soie rouge et noir ...
    ... déjà imprégnée des odeurs musquées intimes de mon ancienne amante. Quel bonheur de retrouver ces odeurs qui nous rajeunissaient de dix années… Élisabeth s’aperçut de mon érection au travers de mon pantalon. Profitant de l’obscurité, elle glissa sa jambe droite entre mes jambes et m’excita encore plus. — J’ai très envie de toi. Si nous rentrions à mon hôtel ? Nous n’eûmes aucune difficulté à trouver un taxi devant Le Méridien. Et, comme au premier soir, j’étais avec Élisabeth, amoureuse, sans petite culotte… La place de l’Étoile était encombrée. Le chauffeur de taxi n’était intéressé que de s’extirper du trafic. J’en profitai pour glisser une main entre les cuisses ouvertes d’Élisabeth. De fait, elle portait un porte-jarretelles, comme je les aime, son intimité était déjà bien humidifiée par le désir et je récupérais provisoirement ma pochette imbibée de larmes pour y ajouter cette sécrétion féminine synonyme de désir. Lorsque le taxi s’arrêta, nous étions devant le George V, et c’est le chasseur, certainement habitué du fait, qui nous interrompit dans notre lien amoureux et nous invita à descendre. Sans passer par la réception, où l’attendaient quelques fax, Élisabeth m’emmena directement vers les ascenseurs. La porte refermée, nous reprîmes notre étreinte et je sentis le genou d’Élisabeth se faire de plus en plus pressant sur mon sexe en érection. L’inconvénient des ascenseurs modernes, c’est qu’ils sont rapides… En peu de temps, nous étions au 5e étage, la porte s’ouvrit. ...