1. Des retrouvailles pleines d' émotion...


    Datte: 15/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, amour, noculotte, Oral nostalgie, coupfoudr, amourpass,

    ... Élisabeth me prit par la main et eut quelques difficultés à ouvrir la porte de sa chambre avec la carte magnétique. Je la lui pris des mains et réussis à ouvrir cette porte qui nous séparait d’une nuit de retrouvailles. Je n’eus que le temps de découvrir cette grande chambre rénovée il y a un an ou deux, avec un bureau de travail, ordinateur, télévision à écran plasma, mais surtout un grand lit avec une couette comme je les aime. Sans mot dire, Élisabeth se débarrassa de son manteau, de sa veste et, tout en dénouant son chignon, elle entreprit de me déshabiller fébrilement. Mon imper, ma veste, ma cravate rejoignirent son manteau et sa veste à même le sol. Et de concert nous enlevâmes qui son chemisier, qui sa chemise. Élisabeth m’apparut alors dans cet ensemble Lise Charmel, sa marque préférée – et comme je la comprends : un soutien-gorge de soie rouge et noire avec quelques guipures mettant en valeur cette poitrine ferme et sensible que je lui avais connue et le porte-jarretelles de même marque que j’avais subodoré. Je n’eus que le temps de me débarrasser de mes chaussures. Élisabeth me balança sur le lit, m’enleva la ceinture puis le pantalon et se précipita sur moi. Nous nous embrassâmes à nouveau goulûment, et je sentais son sexe tout humidifié se frotter hardiment sur mon sexe au travers de mon boxer. Alors que je dégrafai son soutien-gorge pour mieux découvrir ses seins qui, l’âge aidant, avaient pris plus de volume, Élisabeth descendit le long de mon corps, ...
    ... mordillant au passage mes tétons, léchant mon nombril, puis prenant à pleines dents mon boxer afin de m’en débarrasser. Décidément, elle n’avait pas changé. C’était elle qui menait la danse… Il ne me restait qu’à me laisser faire Élisabeth, après quelques baisers furtifs sur mon pubis et mes bourses, osa quelques petits coups de langue sur le bout de mon sexe en excitation, où perlaient quelques gouttes de bonheur. Soudain, se rappelant l’aspiration de la patte de crabe à la brasserie, elle aspira profondément mon sexe jusqu’au fond de sa gorge. Je retrouvais ces moments d’excitation limites, ces mordillements, ces succions, cette langue qui m’enveloppait adroitement le bout du sexe… Soudain, je me mis à gicler violemment dans la bouche d’Élisabeth, qui recueillit ma semence avec toujours autant de plaisir. Tout en avalant mon sperme, elle continuait à me lécher, alors que j’étais aux limites du supportable. J’entrepris alors de prendre Élisabeth vers moi, de la prendre dans mes bras, de l’embrasser pour la remercier de ces quelques minutes de bonheur qu’elle venait de me procurer et qui, en fait, me manquaient tant. Je descendis le long de ses seins. Ils étaient toujours aussi fermes et avaient certainement pris une ou ou deux tailles (il faudrait m’en souvenir quand je lui ferais la surprise de dessous coquins). Ses tétons, que j’avais tant sucés, léchés, mordillés, aspirés, étaient rouges d’excitation. Tout comme son clitoris qui n’attendait que ma venue. Je le fis d’abord rouler ...