1. Les mémoires de Popaul


    Datte: 15/08/2021, Catégories: f, h, fh, religion, fgode, hgode, délire, humour,

    ... la poussée je m’enfonçai jusqu’à la garde. — Putain, de putain, de putain ! Ça fait mal. Pour lui faire mal, ça avait dû lui faire mal. M’enfin, le but était atteint. Je l’entendis même brièvement sangloter. Il resta immobile, prostré, un bon moment. Puis son excitation reprenant le dessus, il me fit coulisser dans son fourreau pas vraiment huilé. Il n’osa pas me ressortir. Il eut fallu me renfoncer après. Ces va-et-vient lui firent de l’effet. Il geignit, accéléra un peu le rythme, bougea le bassin. Ça planait pour lui. Il s’arrêta, serra les fesses pour me garder en lui. Je compris à ses gestes empressés qu’il délivrait sa bite et qu’il y avait urgence. En effet, après quelques allers et retours, son anus se crispa autour de ma hampe et son bassin s’agita convulsivement. Quelques secondes plus tard, il m’éjecta sans façon. J’avais rempli ma mission (et son cul accessoirement). Petit tour à la salle de bain, où après avoir pris une douche, j’eus droit au récurage de fin. Un bon point pour lui, il avait pensé à se préparer avant notre petite sauterie et j’étais presque propre. J’eus peur de retourner dans le coffre de la voiture et de me retrouver entre ce pneu mal élevé et ces godasses puantes. Et non ! Je rejoignis sa panoplie dans son sac à malices. Au rythme de plusieurs séances par mois, Laurent progressa rapidement. Il n’ignorait plus rien de moi, enfin presque : il n’avait jamais utilisé ma faculté à éjaculer. Sa rosette m’accueillait les bras (enfin pas vraiment ...
    ... les bras) toujours ouverts. J’avais une petite vie tranquille. J’étais devenu ami avec tous les membres de sa panoplie. Nous passions notre temps à papoter, à nous moquer gentiment de Laurent et de ses petites manies. Tout cela aurait pu durer jusqu’à ma « mort », sauf que… ********** … tout dérapa le jour où sa femme, Laurence, oublia le cadeau pour sa nièce. Laurent, ce jour-là portait un ensemble jupe noire chemisier blanc très classieux. Allongé sur le lit, jupe roulée sur le ventre, il me suçait. La gorge profonde n’avait plus de secret pour lui, mais l’irruption brutale de Laurence dans la chambre alors que j’étais enfoncé dans sa bouche à jouer avec sa luette faillit lui être fatale. Dans la panique provoquée par cette apparition inopportune, il ferma la bouche et au lieu de me retirer, dans un geste incontrôlé me poussa dans la mauvaise direction. Je franchis sa luette sans coup férir et pénétrai son arrière-gorge. Complètement affolé, il commençait à étouffer et ne savait que faire. Heureusement pour lui, Laurence, dans un geste rageur, m’arracha à son étreinte et me jeta à l’autre bout de la chambre. La suite fut délectable, et heureusement je peux vous la raconter ici : Laurent haletant, Laurence éructant, Laurent vomissant sur le couvre-lit… Je passe, par pudeur, sur tous les noms d’oiseaux dont elle le traita. Mon pauvre amant(e) ne savait plus où se mettre. Il restait figé tandis que sa bonne femme le houspillait. Finalement, elle retrouva son calme, du moins un ...
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