1. Tranche de vie


    Datte: 15/08/2021, Catégories: romance, fh, couple, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... je suis là.— Ça va ? Pas trop tendue ? Si quelque chose ne va pas, tu le dis et on arrête tout de suite. OK ?— OK. Je compte sur toi. Mais j’ai vraiment envie de voir d’abord si je pourrai aller jusqu’au bout ; ensuite, les photos que tu feras de moi et comment tu me vois. Elle but une gorgée, posa son verre et me tendit ses lèvres. Baiser tendre mais chaste. Elle vibrait toujours autant. Elle reprit son vanity posé par terre et le long déshabillé de soie grège qu’elle avait amené et se dirigea vers la salle de bain. Face à la porte, un meuble à deux vasques appuyé à gauche contre le mur, se poursuivant à droite par une coiffeuse en face de laquelle se trouve le bidet. À droite encore, la baignoire ; et au fond, entre celle-ci et le mur, une cabine de douche. Elle posa son vanity sur la coiffeuse, accrocha son déshabillé à la patère et fit le tour du propriétaire. Elle sortit du placard, à côté de la porte, une grande sortie de bain et une serviette, les posa sur le bord de la baignoire. Elle me regarda, me sourit, s’adossa contre la coiffeuse et commença à déboutonner son chemisier. Sans ostentation, comme si elle était seule. Le chemisier déboutonné, elle dégrafa sa jupe, fit glisser la fermeture et enjamba le vêtement. Je mitraillais tant que je pouvais, tournant autour d’elle. Lorsqu’elle se pencha, ses seins apparurent entre les deux pans du chemisier. Ronds, fermes, bien attachés, de belles pommes avec un mamelon bien dessiné qui émergea d’une aréole très brune. Elle ...
    ... avait la peau mate, couleur du pain grillé. Le chemisier rejoignit la jupe sur la coiffeuse. Elle était là, devant moi, à moitié nue, son slip et son porte-jarretelles blanc tranchant sur la carnation de sa peau. Elle retira ses bas, une jambe posée sur le bord de la baignoire. Elle roula le fourreau jusqu’à sa cheville, puis l’autre. De temps en temps je croisais son regard, grave mais confiant. Les sous-vêtements rejoignirent la jupe et le corsage. Elle se regarda dans la glace au-dessus du lavabo. Ma surprise fut telle en la voyant que j’en oubliai presque d’appuyer sur le déclencheur. Elle était lisse, sans une trace de pilosité sur tout le corps. Son ventre plat se terminait par un pubis bombé parfaitement glabre. Son sexe était fendu très haut, charnu, les petites lèvres dépassant et faisant comme les draperies d’une aurore boréale, amples, longues, fières. On devinait tout en haut de la fente son clito lui aussi long et épais. D’un geste de ses deux bras, elle regroupa ses cheveux en une espèce de queue-de-cheval ; ses seins remontèrent, arrogants, magnifiques d’orgueil et d’impudeur. Elle prit dans son vanity un chouchou avec lequel elle s’attacha les cheveux, puis se dirigea vers la douche. Pas un mot. Elle fit comme si je n’étais pas là. Mais je la sentais offerte, abandonnée à mon regard et à mes désirs. Je la suivis. Elle entra dans la cabine de douche, régla la température de l’eau et se mit sous le jet. Elle tourna, offrant chaque parcelle de son corps à la pluie ...
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