Tranche de vie
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
romance,
fh,
couple,
voisins,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... chaude qui tombait du pommeau. Puis elle prit le savon et recouvrit son corps de mousse. J’eus l’impression qu’elle se caressait avec bonheur. Le savon passa et repassa partout. Lorsqu’elle se releva après avoir frotté ses jambes, nos regards se croisèrent. Le sien était voilé, celui d’une femme qui s’aime. Le mien devait refléter tout le désir que j’avais d’elle et qui se manifestait d’une façon tangible. Elle le vit ; elle sut, et me sourit. Elle se rinça, sortit de la douche, s’enveloppa dans la sortie de bain, enferma ses cheveux dans la serviette et vint s’asseoir devant la coiffeuse. Elle passa sur son visage une lotion puis une crème, jeta un dernier coup d’œil à la glace et se leva. La sortie de bain tomba sur le sol ; la serviette la rejoignit. Elle brossa longtemps ses cheveux, debout, nue, jambes légèrement écartées, le bassin basculé en avant pour un meilleur équilibre. Je rechargeai à toute vitesse mon appareil et continuai à tirer des photos d’elle ou de son reflet dans la glace. Je zoomai sur ses seins, son ventre, son sexe, son visage, la prenant tantôt en pied, tantôt en gros plan. Son brossage fini, elle passa sur son corps un liquide blanc, le fit pénétrer dans la peau. Puis elle enfila son déshabillé sans le fermer, sortit de la salle de bain, traversa le couloir et entra dans la chambre. Une fois le lit ouvert, elle s’allongea dessus, la tête sur l’oreiller, cheveux étalés en auréole. Ses seins jaillissaient du peignoir qui coulait le long de son corps. ...
... Jambes légèrement écartées, elle m’offrit une vision de rêve sur son sexe. Elle ferma les yeux. Ses mains bougèrent, prenant possession de ses seins, les flattant en agaçant les mamelons. Elle se caressa le ventre. Des mouvements désordonnés, et à peine perceptibles de son bassin indiquèrent qu’elle avait trouvé le chemin de son plaisir. D’un doigt tendre, elle caressa son sexe, insista sur son clito. Sa respiration s’accéléra, elle gémit doucement. Le doigt insista ; elle soupira, puis brusquement, presque violemment, son corps se tendit et se referma sur sa main. Son visage se ferma quelque peu puis retrouva sa sérénité. Deux larmes coulèrent le long de ses joues. C’était ma dernière photo. Silence. Je rechargeai encore une fois l’appareil. Je ne bougeais plus. Je la regardais. Elle était comme endormie. — Viens, fais-moi l’amour maintenant. Je me suis déshabillé puis l’ai rejointe au lit. Nos lèvres se sont tout de suite trouvées. Son corps et le mien se sont collés l’un à l’autre. Son ventre s’était plaqué contre le mien, animé de mouvements propres, prenant la mesure de mon désir évident. J’ai fait glisser le déshabillé de ses épaules puis l’ai serrée dans mes bras très fort. Mes mains caressèrent son dos doucement. Sa peau était lisse, fine, chaude. Je sentis sur mon torse les pointes de ses seins, dures. Elle posa ses mains sur mon cou. Remonta sur mes joues. Tourna mon visage de façon à avoir mon oreille près de ses lèvres. — Tu feras doucement : je n’ai pas eu d’homme ...