1. Tranche de vie


    Datte: 15/08/2021, Catégories: romance, fh, couple, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... depuis trois ans. J’ai un peu peur.— Tu seras ma petite vierge.— Merci. J’ai pris ses seins dans mes mains. Elle s’est cabrée. Je l’ai embrassée dans le cou puis entre les seins dans cette vallée tendre et si sensible, puis ma bouche a suivi un chemin descendant, traversant son ventre, s’attardant sur le nombril. Je la pris par les hanches et repris ma progression. Jamais je n’avais éprouvé une telle sensation de douceur. Son pubis était complètement glabre et doux. Ma langue courut dessus, explorant le haut de sa fente, cherchant les points sensibles. Il y en avait beaucoup. Chaque contact était salué par un frémissement, un soupir, un gémissement. Ses mains tenaient ma tête, la guidaient, ou au contraire soulageaient la pression. Lorsque mes lèvres happèrent son clito dur et tendu, elle feula comme une panthère, ouvrit ses jambes, bascula son bassin vers moi, s’offrant au maximum. Je fis durer mon exploration, séparant les lèvres de son sexe de ma langue. Je la goûtais. C’était à la fois sucré et amer. Elle coulait comme un petit ruisseau. Chaque mouvement de mes lèvres ou de ma langue générait un petit bruit humide. J’entendis sa respiration s’accélérer, elle gémissait en permanence. Son bassin dansait une sarabande… J’avais du mal à rester en contact, mais je m’accrochais. De sa poitrine naquit une longue plainte, rauque, animale, venue du plus profond d’elle. Elle remonta ses jambes sur mes épaules. Ma tête se trouva prise dans un étau doux mais ferme. Ma langue la ...
    ... pénétra au plus loin qu’il était possible et mes dents touchèrent son clito. Cela déclencha une explosion. Ses cuisses me serraient tellement fort que je crus étouffer. Son sexe coulait, inondant ma bouche de liqueur. Elle criait son plaisir. J’étouffais sous le carcan qu’elle m’imposait. Ses mains étaient comme folles, cherchant à écraser ma tête contre son sexe et à la repousser en même temps. Puis elle se calma. L’étau se desserra. Elle roula sur le côté. Silence. Je me dégageai doucement et l’enlaçai par les épaules. Sa tête se nicha au creux de mon bras et s’appuya sur ma poitrine. Je sentis des larmes couler sur mes joues. — Merci, merci. Qu’est-ce que c’est bon… Je me suis mis sur le dos et l’ai fait basculer sur moi. À cheval sur mon ventre, son sexe chercha le mien, le trouva. Le contact la fit frémir. Elle posa ses mains sur mes épaules, me regarda droit dans les yeux. Son visage était grave. Ses yeux brillaient encore des larmes de joie qu’elle avait versées il y a quelques minutes. Elle s’empala lentement sur moi. Je sentis ses lèvres s’écarter et je pénétrai dans un fourreau souple mais étroit, chaud, frémissant, qui me serra convulsivement. La lune qui brillait éclairait la chambre et fit lever son corps couvert de rosée de sueur. Tout doucement, elle est allée le plus loin possible pour elle et pour moi. Assise sur mon bassin, elle se fit lourde, cherchant encore à aller plus en avant. Puis elle s’allongea sur moi, bouche contre bouche. Sa respiration était ...
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