1. Tranche de vie


    Datte: 15/08/2021, Catégories: romance, fh, couple, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... moi dans la nuit, elle l’a traité de voyeur et lui a envoyé son oreiller ; avant que celui-ci l’atteigne, il avait sauté sur le lit entre nous deux. Nous avons joué un moment avec lui puis nous nous sommes levés et sommes allés vers la salle de bain, à celui qui y arrive le premier. Elle a gagné et nous sommes entrés dans la douche. Une fois les portes du pare-douche fermées, on peut tout se permettre sans risque de transformer la salle de bain en Venise miniature. Nous nous sommes tout permis, alternant jeux, caresses, arrosages et éclaboussures sans complexe. Margaux était déchaînée et n’avait plus rien de la jeune femme réservée et B.C.B.G. que j’avais croisée dans l’ascenseur 24 heures auparavant. Une fois séché, je lui ai laissé la coiffeuse pour son usage personnel et me suis rasé. Fin de toilette. Fin de jeu. — Il faut que je repasse chez moi me chercher une tenue plus adéquate que ça, me dit-elle en montrant son tailleur. Je reviens vite. Elle m’embrassa en se collant contre moi. Je ne tardai pas à lui prouver d’une manière très concrète que ses caresses ne me laissaient pas indifférent… — Voyez-moi ça, me dit-elle en prenant mon sexe tendu dans sa main. Mais c’est qu’il en redemanderait encore ! Elle se laissa tomber à genoux sur une serviette et me prit dans sa bouche. Ce n’était pas la première fois que l’on me faisait une telle gâterie, mais je dois dire que Margaux était particulièrement douée. Elle fit durer le jeu longtemps puis obtint le résultat qu’elle ...
    ... cherchait. Je l’ai aidée à se relever. Regard voilé, lèvres humides, elle s’accrocha à mon cou. — Vous êtes, Monsieur, le meilleur apéritif que je n’ai jamais bu. Je l’ai embrassée longuement, caressant ses seins si doux et son ventre frémissant, puis sans autre forme de procès je l’ai plaquée contre le mur et l’ai pénétrée, profitant d’un reste de vigueur. Elle a joui quasiment de suite, ses jambes emprisonnant ma taille, ses pieds poussant sur mes fesses comme pour me faire pénétrer plus loin encore. Nous nous sommes séparés à regret avant que la position ne devienne intenable. Après un dernier baiser, elle a pris ses vêtements et a traversé l’appartement, nue comme à son premier jour. J’ai entendu la porte claquer, puis s’ouvrir celle de l’appartement voisin. « Eh bien mon garçon, te voilà bel et bien mordu, mais je crois que tu n’es pas le seul… » Je suis repassé sous la douche, histoire de me rafraîchir puis j’ai remis un peu d’ordre dans la salle de bain et dans la chambre. Le lit était un vrai champ de bataille et méritait d’être refait. J’en étais là de mes travaux ménagers lorsqu’elle est revenue, vêtue d’un maillot d’athlétisme et d’un short flottant, tous les deux de couleur jaune d’or du plus bel effet. — Me revoici ; je n’ai pas été trop longue ?— Tu me manques vite, tu sais. C’est fou, non ?— Toi aussi tu me manques vite. Je me suis dépêchée. Je crois même que j’en ai oublié de mettre un slip, me glissa-t-elle au creux de l’oreille ; mais chut, ne le répète à ...
«12...161718...49»