Tranche de vie
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
romance,
fh,
couple,
voisins,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... quelques caresses vous sont interdites pendant quelques jours, Monsieur.— Pas toutes, quand même ?— J’ai dit « quelques ». Et elles vont cruellement me manquer.— Bien, mais tu restes avec moi ? Nous avons plein de choses à faire.— Bien sûr, je ne vis pas en recluse. J’ai même de la chance : ça ne me donne ni migraine, ni mauvais caractère.— Là, c’est moi qui ai de la chance ! Nous avons ri, elle m’a embrassé, a tiré la couette. J’étais nu, allongé, entièrement offert à son regard. J’étais bien et le manifestai d’une manière très tangible. — Encore ? Ah non, Monsieur, cachez ce sexe que je ne saurai utiliser ! Quoique… Elle se pencha vers moi, posa ses lèvres sur mon ventre, contournant la colonne de chair palpitante qui se tendait vers elle. — Ne bouge pas, j’arrive.— Laisse-moi faire ; promets, et je lâche tes mains.— Promis. Une fois mes mains libres, je lui caressais le bas du dos, limitant mon exploration à la ceinture de coton blanc qui lui marquait les hanches. Je sentais ses seins durs, leurs tétons tendus contre ma poitrine. Elle haletait doucement, appliquée à contrôler son plaisir et à provoquer le mien. Mon sexe palpitait entre nos ventres et je sentais que je ne tiendrais plus longtemps. Elle aussi le sentait. Elle se dégagea un peu, m’empoigna et me masturba tendrement. Au moment où j’allais exploser, elle me prit dans sa bouche et finit avec ses lèvres ce qu’elle avait si bien commencé avec son corps. Elle n’en laissa pas perdre une goutte, m’aspirant, me ...
... pompant pour épuiser toutes mes réserves. Elle ne revint s’allonger contre moi qu’une fois que j’eus retrouvé ma taille de repos. Elle se cala contre mon épaule, ses cheveux éparpillés sur mon torse. Mes mains avaient pris possession de ses seins et je l’emmenai à son plaisir par des caresses douces ou plus fortes. Elle frémit, ronronna comme une chatte et jouit longuement, abandonnée, confiante. Nous nous sommes levés, douchés ; nous avons déjeuné puis sommes allés au labo. Les tirages nous ont pris la matinée ; enfin, ce qui en restait. — Je voudrais que tu en fasses un album rien que pour nous deux, me dit-elle. Nous en referons d’autres : cela nous fera comme un journal qu’à nous. Secret. Elle était fière des résultats obtenus tant du point de vue du sujet que sur le plan technique du laboratoire. Elle pouvait, elle avait intégré très vite les différents paramètres et se débrouillait très bien. Nous en sommes venus à parler de la journée et de ce que nous allions faire. — Je t’invite à déjeuner dans un restaurant périgourdin. Tu apprendras à connaître un peu la gastronomie de ma région.— Gastronomie ? Diantre, quel mot ! Cuisine n’est pas suffisant ?— Ah non ! Cuisine, c’est réducteur. Tu vas pouvoir constater que chez nous, tout est réuni pour la fête du palais : les produits, les vins, l’ambiance.— Bon, bon. Ne te fâche pas. Je ne demande qu’à me laisser convaincre.— J’espère bien. Nous allons y aller à pied. Ce n’est pas très loin. Avant, je vais réserver ; le dimanche, ...