1. Les habitus sociaux et fantasmatiques revisités


    Datte: 15/11/2017, Catégories: fh, fhhh, fplusag, jeunes, toilettes, volupté, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, revede, Oral pénétratio, humour,

    Déjà 10 heures 20… Il faut que je me dépêche si je veux arriver à l’heure. Je termine de me raser et me passe un coup de peigne. Je cherche désespérément dans le miroir l’image d’un jeune… futur stagiaire dynamique, mais pour l’instant ça ressemble plutôt à un jeune qui a trop fait la fête la veille. Faut dire que Coralie avait avancé des arguments convaincants hier soir : dans le genre fille libérée elle était prête pour l’évasion d’Alcatraz ! On avait passé la soirée au resto, et sa façon d’avaler les nems relevait sérieusement le goût de mes nouilles ! A propos de nouilles, je ne connaissais pas sa technique, qu’elle appelait si élégamment "réchauffer le spaghetti". Merde, je m’égare là… je vous raconte ma soirée alors que je dois filer dans trois minutes… Allez hop une chemise, une cravate et je fonce. Il faut que je me dépêche sinon Jeanne va m’attendre. On a rendez-vous à l’entrée de la halle du centre ville pour passer une série d’entretiens avec les boîtes de la région. Pour une fois que la mairie organise quelque chose, ce serait con de ne pas en profiter. En plus, il me le faut ce stage ! Ça y est, je suis arrivé. Ouh la… Jeanne aussi est arrivée ! Je sais pas si elle fait pro, mais elle fait envie… Son petit tailleur chic moule ses jolies fesses à la perfection. Elle est de dos, elle ne m’a pas vu. Je m’approche de sa belle chevelure blonde pour lui chuchoter un amical bonj… CLAC !! Elle m’a mis une gifle ! — T’as une demi heure de retard sale con !— Bonjour ...
    ... Jeanne, ça va toi ?— T’es con ou quoi ? On avait dit 10 heures ! A cause de toi tous les pervers du quartier se sont rincés les yeux sur moi ! Joignant le geste à la parole, elle pointe du doigt le chantier voisin. En effet. Une dizaine d’ouvriers sont visiblement en train de prendre du retard dans leur boulot. Sur la pointe des pieds, derrière leur palissade, ils matent sans vergogne cette pauvre Jeanne. Ils devaient déjà s’imaginer un encas spécial pour la pause déjeuner… Je vois d’ici ce qui devait se passer dans la tête de ces pauvres travailleurs… Nous, ouvriers du chantier du centre ville, notre scénario salace : On bossait comme des abrutis depuis ce matin 8 heures, à trimballer des planches de bois en haut d’un vieil immeuble du centre ville. Aucun doute qu’on pouvait toujours continuer à bosser comme des cons pendant toute notre vie, c’était pas nous qu’on était prêt d’habiter dans ce genre de baraque. Ça, c’était pour les gens du monde. Nous qu’on pouvait déjà s’estimer heureux de crécher dans la proche banlieue. Remarquons bien que c’est pas plus mal, passque nous au moins on peu faire des barbecues dans le jardin. Alors que les bourgeoises qui crèchent dans ce genre d’immeuble, en ville, elles risquent pas de s’étouffer avec leurs saucisses. Ça, c’est pas leurs maris qui leur donneraient des bonnes saucisses bien juteuses comme nous qu’on en donne à nos femmes. D’ailleurs en v’la une de petite bourgeoise qui doit pas en manger beaucoup des saucisses. Elle est plus fine ...
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